La secrétaire d`Etat américaine Hillary Clinton a condamné vendredi les attaques du camp du président ivoirien sortant Laurent Gbagbo contre "des civils désarmés" et exigé "la fin immédiate des ces brutalités".
"La violence aveugle de Gbagbo contre des civils est intolérable", a
déclaré la ministre dans un communiqué. "Tous les individus responsables
d`avoir ordonné ou mené ces actes de haine devront répondre de leurs actes",
a-t-elle ajouté.
Mme Clinton a pris très clairement position en faveur d`Alassane Ouattara,
le président élu le 28 novembre et reconnu par la communauté internationale, à
qui M. Gbagbo refuse de céder la place.
"Les affirmations de Gbabgo selon lesquelles il représente les Ivoiriens
sont contredites par son refus de participer à la transition pacifique
recommandée par l`Union africaine", a dénoncé la chef de la diplomatie de
l`administration Obama.
"La rhétorique incendiaire de Gbagbo, notamment son récent appel aux civils
à prendre les armes contre leurs compatriotes, contraste avec l`appel au calme
et à la retenue du président Ouattara", a ajouté Mme Clinton.
"Il est temps que tous les Ivoiriens embrassent la voie de la paix et
s`unissent afin de rebâtir la Côte d`Ivoire", a plaidé la secrétaire d`Etat.
L`ONU a accusé les forces du camp Gbagbo d`avoir tué jeudi 25 à 30 civils
dans le quartier d`Abobo, fief électoral de M. Ouattara et base des insurgés
dans le nord d`Abidjan. L`ONU a évoqué un possible "crime contre l`humanité",
tandis que la France a dénoncé un "massacre délibéré de civils".
"La violence aveugle de Gbagbo contre des civils est intolérable", a
déclaré la ministre dans un communiqué. "Tous les individus responsables
d`avoir ordonné ou mené ces actes de haine devront répondre de leurs actes",
a-t-elle ajouté.
Mme Clinton a pris très clairement position en faveur d`Alassane Ouattara,
le président élu le 28 novembre et reconnu par la communauté internationale, à
qui M. Gbagbo refuse de céder la place.
"Les affirmations de Gbabgo selon lesquelles il représente les Ivoiriens
sont contredites par son refus de participer à la transition pacifique
recommandée par l`Union africaine", a dénoncé la chef de la diplomatie de
l`administration Obama.
"La rhétorique incendiaire de Gbagbo, notamment son récent appel aux civils
à prendre les armes contre leurs compatriotes, contraste avec l`appel au calme
et à la retenue du président Ouattara", a ajouté Mme Clinton.
"Il est temps que tous les Ivoiriens embrassent la voie de la paix et
s`unissent afin de rebâtir la Côte d`Ivoire", a plaidé la secrétaire d`Etat.
L`ONU a accusé les forces du camp Gbagbo d`avoir tué jeudi 25 à 30 civils
dans le quartier d`Abobo, fief électoral de M. Ouattara et base des insurgés
dans le nord d`Abidjan. L`ONU a évoqué un possible "crime contre l`humanité",
tandis que la France a dénoncé un "massacre délibéré de civils".