Abidjan - Le fonds humanitaire d’urgence des Nations Unies (CERF) vient d’allouer une contribution de 10,4 millions de dollars (environ 5,2 milliards de FCFA) à sept agences humanitaires du système des Nations Unies en Côte d’Ivoire et leurs partenaires, en vue de faire face aux besoins les plus pressants de l’urgence humanitaire.
Depuis le 28 novembre, la Côte d’Ivoire vit une crise sociopolitique qui s’aggrave de jour en jour, détériorant considérablement les services sociaux de base et entraînant une fuite massive des populations d’Abidjan et l’ouest vers des zones jugées plus sécurisées, note-t-on.
La contribution du CERF permettra aux agences bénéficiaires, à savoir la FAO, le HCR, l’OIM, l’OMS, le PAM, l’UNICEF et l’UNFPA, la prise en charge des besoins urgents afin de sauver les vies des populations qui fuient les zones de combats, selon un communiqué de la Coordination du système des Nations Unies (OCHA) en Côte d’Ivoire parvenu à l’AIP jeudi.
"Il s’agira notamment d’appui sous forme de nourriture, d’articles non alimentaires, d'eau, de moyens d'assainissement, d’appui au système de santé (réponse aux épidémies à Abidjan et prévention d’épidémies dans les camps de déplacés, appui à la collecte de poches de sang sécurisés), ainsi que d’actions en faveur de la protection des populations affectées", précise le communiqué de presse.
Suite à un appel du Coordonnateur humanitaire, Ndolamb Ngokwey, en janvier à New York, le CERF a décidé d’apporter cette allocation qui porte à plus de 40% la couverture financière en deçà des besoins devenus considérables au cours de la "crise humanitaire en Côte d’Ivoire qui ne doit être oubliée par les donateurs", avait affirmé le Coordonnateur.
(AIP)
kp
Depuis le 28 novembre, la Côte d’Ivoire vit une crise sociopolitique qui s’aggrave de jour en jour, détériorant considérablement les services sociaux de base et entraînant une fuite massive des populations d’Abidjan et l’ouest vers des zones jugées plus sécurisées, note-t-on.
La contribution du CERF permettra aux agences bénéficiaires, à savoir la FAO, le HCR, l’OIM, l’OMS, le PAM, l’UNICEF et l’UNFPA, la prise en charge des besoins urgents afin de sauver les vies des populations qui fuient les zones de combats, selon un communiqué de la Coordination du système des Nations Unies (OCHA) en Côte d’Ivoire parvenu à l’AIP jeudi.
"Il s’agira notamment d’appui sous forme de nourriture, d’articles non alimentaires, d'eau, de moyens d'assainissement, d’appui au système de santé (réponse aux épidémies à Abidjan et prévention d’épidémies dans les camps de déplacés, appui à la collecte de poches de sang sécurisés), ainsi que d’actions en faveur de la protection des populations affectées", précise le communiqué de presse.
Suite à un appel du Coordonnateur humanitaire, Ndolamb Ngokwey, en janvier à New York, le CERF a décidé d’apporter cette allocation qui porte à plus de 40% la couverture financière en deçà des besoins devenus considérables au cours de la "crise humanitaire en Côte d’Ivoire qui ne doit être oubliée par les donateurs", avait affirmé le Coordonnateur.
(AIP)
kp