Le président sortant de Côte d`Ivoire Laurent Gbagbo et sa femme Simone font partie des cinq personnes visées par des sanctions du Conseil de sécurité dans un projet de résolution présenté vendredi par la France et le Nigeria.
Ces sanctions sont un gel des avoirs financiers et une interdiction de voyager, selon le projet de résolution. L`Union européenne et les Etats-Unis ont déjà imposé des sanctions similaires contre Laurent Gbagbo et son entourage.
Les trois autres personnes citées sont Désiré Tagro, secrétaire général de la "prétendue présidence" de M. Gbagbo, Pascal Affi N`Guessan, président du Front populaire ivoirien, le parti de M. Gbagbo, et Alcide Djédjé, proche conseiller du président sortant.
Ces cinq personnes sont visées pour "obstruction à la paix et au processus de réconciliation", pour "rejet des résultats de l`élection présidentielle" et pour trois d`entre eux (Mme Gbagbo et MM. Affi et Djédjé), "pour incitation à la haine et à la violence".
La Communauté économique des Etats d`Afrique de l`Ouest (Cédéao, 15 pays) a déclaré jeudi qu`elle souhaitait que l`ONU adopte des sanctions "plus contraignantes" à l`encontre de Laurent Gbaggo.
Le Conseil de sécurité de l`ONU s`était dit prêt le 11 mars à imposer des "sanctions ciblées" contre ceux qui font obstruction à une solution pacifique à la crise ivoirienne et aux forces de l`ONU, dans une menace voilée visant M. Gbagbo.
Ces sanctions sont un gel des avoirs financiers et une interdiction de voyager, selon le projet de résolution. L`Union européenne et les Etats-Unis ont déjà imposé des sanctions similaires contre Laurent Gbagbo et son entourage.
Les trois autres personnes citées sont Désiré Tagro, secrétaire général de la "prétendue présidence" de M. Gbagbo, Pascal Affi N`Guessan, président du Front populaire ivoirien, le parti de M. Gbagbo, et Alcide Djédjé, proche conseiller du président sortant.
Ces cinq personnes sont visées pour "obstruction à la paix et au processus de réconciliation", pour "rejet des résultats de l`élection présidentielle" et pour trois d`entre eux (Mme Gbagbo et MM. Affi et Djédjé), "pour incitation à la haine et à la violence".
La Communauté économique des Etats d`Afrique de l`Ouest (Cédéao, 15 pays) a déclaré jeudi qu`elle souhaitait que l`ONU adopte des sanctions "plus contraignantes" à l`encontre de Laurent Gbaggo.
Le Conseil de sécurité de l`ONU s`était dit prêt le 11 mars à imposer des "sanctions ciblées" contre ceux qui font obstruction à une solution pacifique à la crise ivoirienne et aux forces de l`ONU, dans une menace voilée visant M. Gbagbo.