Nous l`avons déjà écrit. L`embargo imposé par l`Union Européenne aux deux ports ivoiriens n`empêche pas l`approvisionnement du pays en médicaments. Le mardi dernier, sur le plateau de 20 heures de télé Côte d`Ivoire (TCI), le ministre de la Production animale et des Ressources halieutiques, assurant l`intérim de celui de la Santé, Allah Kouadio Remi est revenu sur la question. Il a expliqué que l`embargo n`avait pas de réel impact sur l`approvisionnement de la Côte d`Ivoire en médicaments. Certes, le ministre a reconnu que les bateaux, du fait de ce blocus, ne pouvaient faire le détour en Côte d`Ivoire pour livrer uniquement les médicaments. Toutefois, il a tenu à préciser que les bateaux pouvaient déposer les médicaments au Ghana voisin. « De ce pays, les conteneurs peuvent être acheminés en Côte d`Ivoire par voie terrestre», a-t-il expliqué. Le vrai problème au niveau du public, a relevé le ministre de la Santé, se situe au niveau de la Pharmacie de la santé publique (PSP). Cette pharmacie qui ravitaille les autres pharmacies des hôpitaux publics, selon Allah Kouadio Remi, avait des difficultés de trésorerie bien avant l`embargo. Toute chose qui a entamé la confiance entre elle et son fournisseur. Car ne pouvant régler ses livreurs, elle ne peut passer de nouvelles commandes. Au niveau du privé, il a expliqué qu`il n`y a pas réelles inquiétudes à se faire. Les deux principaux grossistes, a-t-il rassuré, ne sont pas en rupture de stock. « Il y a un grossiste qui recevra bientôt des livraisons pour un montant de trois milliards FCFA. L`autre nous a rassuré que compte tenu de la baisse en consommation des médicaments (à cause de la crise qui frappe de plein fouet la population), son stock pouvait encore tenir jusqu`à fin avril », a-t-il précisé.
On le voit, il ne peut donc y avoir de rupture de médicaments en Côte d`Ivoire. Le camp de l`ancien Président et son parti (FPI) qui refusent de céder le pouvoir au président élu, veulent une fois de plus instrumentaliser la population en jouant sur la fibre de la sensibilité. La réalité est qu`ils n`ont pas d`argent pour acheter les médicaments pour soigner les Ivoiriens. Ne pouvant donc assurer le bien-être des Ivoiriens, ils ont préféré s`adonner à leur jeu favori : le dénigrement, le mensonge et la manipulation. Mais comme toujours, ils viennent de se faire rattraper par la vérité. Ne dit-on pas aujourd`hui en Côte d`Ivoire : « à beau mentir ….qui vient du FPI ».
Dao Maïmouna
On le voit, il ne peut donc y avoir de rupture de médicaments en Côte d`Ivoire. Le camp de l`ancien Président et son parti (FPI) qui refusent de céder le pouvoir au président élu, veulent une fois de plus instrumentaliser la population en jouant sur la fibre de la sensibilité. La réalité est qu`ils n`ont pas d`argent pour acheter les médicaments pour soigner les Ivoiriens. Ne pouvant donc assurer le bien-être des Ivoiriens, ils ont préféré s`adonner à leur jeu favori : le dénigrement, le mensonge et la manipulation. Mais comme toujours, ils viennent de se faire rattraper par la vérité. Ne dit-on pas aujourd`hui en Côte d`Ivoire : « à beau mentir ….qui vient du FPI ».
Dao Maïmouna