Alassane Ouattara, reconnu président ivoirien
par la communauté internationale, a appelé jeudi les militaires fidèles au
chef d`Etat sortant Laurent Gbagbo à "rallier" ses forces, qui étaient "aux
portes d`Abidjan" après quatre jours d`offensive.
"Malgré de nombreux appels à M. Laurent Gbagbo et à ses proches pour un
transfert pacifique du pouvoir, l`unique réponse à cette main tendue a été la
violence", a-t-il dit dans une adresse à la Nation diffusée sur sa radio et sa
télévision.
"Contre les miliciens et les mercenaires à la solde de M. Laurent Gbagbo",
les Forces républicaines "ont décidé de rétablir la démocratie et de faire
respecter le vote du peuple", a-t-il dit.
M. Ouattara a demandé aux soldats et aux officiers de se "mettre à la
disposition (du) pays et de rejoindre ainsi la légalité".
"Il est encore temps de rallier vos frères d`armes des Forces
Républicaines. Le pays vous appelle", a-t-il ajouté.
"Pour la mémoire de nos pères fondateurs et pour les générations futures,
nous devons ensemble, construire la Côte d`Ivoire dans la paix", a-t-il conclu.
Le régime de Laurent Gbagbo n`avait jeudi jamais été aussi menacé, après
l`avancée des forces pro-Ouattara vers Abidjan et la fuite du chef
d`état-major de l`armée fidèle à M. Gbagbo chez l`ambassadeur sud-africain à
Abidjan.
par la communauté internationale, a appelé jeudi les militaires fidèles au
chef d`Etat sortant Laurent Gbagbo à "rallier" ses forces, qui étaient "aux
portes d`Abidjan" après quatre jours d`offensive.
"Malgré de nombreux appels à M. Laurent Gbagbo et à ses proches pour un
transfert pacifique du pouvoir, l`unique réponse à cette main tendue a été la
violence", a-t-il dit dans une adresse à la Nation diffusée sur sa radio et sa
télévision.
"Contre les miliciens et les mercenaires à la solde de M. Laurent Gbagbo",
les Forces républicaines "ont décidé de rétablir la démocratie et de faire
respecter le vote du peuple", a-t-il dit.
M. Ouattara a demandé aux soldats et aux officiers de se "mettre à la
disposition (du) pays et de rejoindre ainsi la légalité".
"Il est encore temps de rallier vos frères d`armes des Forces
Républicaines. Le pays vous appelle", a-t-il ajouté.
"Pour la mémoire de nos pères fondateurs et pour les générations futures,
nous devons ensemble, construire la Côte d`Ivoire dans la paix", a-t-il conclu.
Le régime de Laurent Gbagbo n`avait jeudi jamais été aussi menacé, après
l`avancée des forces pro-Ouattara vers Abidjan et la fuite du chef
d`état-major de l`armée fidèle à M. Gbagbo chez l`ambassadeur sud-africain à
Abidjan.