Il n’y a aucun doute sur la violation de la loi sur la convention de Genève notamment quand un soldat qui se rend clairement sans aucune arme à la main, à cet instant précis, la quatrième convention de Genève protégeait IB. D’ailleurs, l'article 3 commun aux quatre Conventions, qui couvre également les conflits armés non internationaux donnent plus de détails sur cet aspect. En vertu de l’article 44, les combattants sont tenus de se distinguer de la population civile quand ils prennent part à une opération militaire. IB s’est rendu en brandissant un drapeau blanc en disant «on se rend, arrêter les tirs». Il rentrait automatiquement dans la catégorie des civils. Il devrait donc être protégé. Mais, quand les armes se sont tuent, Il est sorti accompagnés de ses gardes de corps avec les mains en l’air. Dès qu’ils l’ont vu, ils l’ont criblé de balles en pleine poitrine, il est tombé à la renverse. Le sang a jailli de sa poitrine puisque son cœur battait terriblement. La photo explique clairement cet aspect. Ces gardes de corps ont étés abattus sur le champ pour ne pas qu’ils servent de témoins plus tard. Le sort d’IB était déjà scellé avant le lancement de l’assaut le matin. À 8h du matin, Shérif avait affirmé : «vaquer à vos préoccupations, IB, c’est fini, il n’y a plus d’IB» avec un sourire à la lèvre. Wattao a ajouté au même moment, «nous n’avons pas eu de résistance, nous sommes justes rentrés». C’est seulement à 20h, qu’on annonce la mort du vaillant guerrier d’Abobo. Ces deux affirmations prouvent deux choses : premièrement, les éléments d’IB n’étaient armés, sauf ses sept gardes rapprochés de peur d’être assassiné par les rebelles de Soro. Deuxièmement, IB était déjà assassiné depuis le matin, comme c’était contraire aux vœux du chef de l’état, alors, Soro étant dans l’eau bouillante au Golf, il fallait chercher un Alibi de scénario. Sauf, que Soro n’était pas assez brillant pour monter un scénario infaillible. L’histoire des otages est contraire à la réalité, c’est tout simplement du dilatoire. L’assaut a été lancé dans la précipitation et le désordre de peur qu’IB ne dépose les armes puisqu’il s’apprêtait à le faire et il avait lancé un appel dans ce sens. IB vivant, Soro et ses sbires ne dormaient plus, car pour eux leurs rêves prendraient fin. Il fallait assassiner IB à tout prix. Ils avaient tellement la trouille qu’ils ont oublié de bien ficeler le montage de l’assassinat. La femme d’IB, Khady et ses parents doivent porter formellement plainte contre Soro et ses bras séculaires.
Soro doit démissionner immédiatement pour se mettre à la disposition de la justice pour avoir désobéi aux ordres du chef suprême des armées son excellence Alassane Ouattara. Wattao, Vecho et Shérif quant à eux, doivent être déshabillés immédiatement pour faire face à la cour martiale. (Tribunal militaire).
Le chef de l’État s’est trompé en croyant à la bonne foi de Soro, mais celui-ci a sérieusement terni l’image du président, car tout ceci est contraire à la philosophie de paix qu’il a toujours prônée. Soro se croyait encore aux temps vifs de la rébellion où il a fait assassiner tous ceux qui remettaient en question son leadership. Ces deux hommes de main ont toujours été Wattao et Shérif.
Son excellence, président de la république de Côte d’Ivoire, s’il vous plait, il faudra diligenter une enquête immédiatement sur l’assassinat du commandant IB, car si Dogbo Blé, Robert Gobou, Yoro Claude, Affi N’guessan, Gbagbo etc sont vivants, IB méritait de vivre auprès de ses enfants. Qu’est-ce que IB a fait pour mériter ce sort? Aujourd’hui les assassins Shérifs et Wattao sont tellement contents qu’ils s’exhibent dans des photos avec des miliciens qui brûlaient vifs des innocentes personnes. Au nom de la justice et au nom de la réussite de la réconciliation, la vraie, il faudra diligenter une enquête pour faire la lumière. IB a déstabilisé la résistance de Gbagbo, il a facilité le travail des français avant que les rebelles n’entrent à Abidjan, ces rebelles n’ont pas combattus car les forces de Gbagbo avaient le moral très bas. Ces rebelles pensent qu’ils ont fait quelque chose d’extraordinaire. La preuve, Yopougon n’a pas pu être désarmé malgré les amulettes qu’ils portent sur leurs bras. Tout le monde sait comment Gbagbo a été arrêté. Pour terminer, je voudrais attirer l’attention du chef de l’État sur les soldats des forces nouvelles de Soro. Ces jeunes gens doivent être encadrés par des officiers intellectuels et professionnels et non par des criminels qui n’ont eu leur prestige que dans l’élimination de leurs frères d’armes dissidents. Sinon, ils pourraient nuire au processus de paix. Pas très longtemps, Wattao avait menacé Zakaria en le traitant de vaurien et qu’il ne savait pas utiliser un fusil. Il le dénigrait dans les journaux. Wattao avait massacré les éléments de Zakaria à Séguéla. Tous ces soldats doivent tirer leur révérence, sinon ce sont des dangers pour la paix. La Côte d’Ivoire a besoin de paix et des officiers intellectuels et non des criminels. La symphonie des règlements de compte doit s’arrêter. C’est un impératif.
Texte approuvé par :
Lanciné Bamba/ /Oslo/Norvège
Koné Daouda/Belgique
Kouakou Edmond/Cocody/ Côte d’Ivoire
Djakaridja Koné/ Odienné/Côte d’Ivoire
Adama Tounkara/ Abobo/Abidjan
Francis Gnonogo Jonas/Abidjan
Bamba Fanta/Séguéla/ Côte d’Ivoire
Coulibaly Fousseyni/Paris/ France
Bema Diaby/USA
Militants RHDP
Soro doit démissionner immédiatement pour se mettre à la disposition de la justice pour avoir désobéi aux ordres du chef suprême des armées son excellence Alassane Ouattara. Wattao, Vecho et Shérif quant à eux, doivent être déshabillés immédiatement pour faire face à la cour martiale. (Tribunal militaire).
Le chef de l’État s’est trompé en croyant à la bonne foi de Soro, mais celui-ci a sérieusement terni l’image du président, car tout ceci est contraire à la philosophie de paix qu’il a toujours prônée. Soro se croyait encore aux temps vifs de la rébellion où il a fait assassiner tous ceux qui remettaient en question son leadership. Ces deux hommes de main ont toujours été Wattao et Shérif.
Son excellence, président de la république de Côte d’Ivoire, s’il vous plait, il faudra diligenter une enquête immédiatement sur l’assassinat du commandant IB, car si Dogbo Blé, Robert Gobou, Yoro Claude, Affi N’guessan, Gbagbo etc sont vivants, IB méritait de vivre auprès de ses enfants. Qu’est-ce que IB a fait pour mériter ce sort? Aujourd’hui les assassins Shérifs et Wattao sont tellement contents qu’ils s’exhibent dans des photos avec des miliciens qui brûlaient vifs des innocentes personnes. Au nom de la justice et au nom de la réussite de la réconciliation, la vraie, il faudra diligenter une enquête pour faire la lumière. IB a déstabilisé la résistance de Gbagbo, il a facilité le travail des français avant que les rebelles n’entrent à Abidjan, ces rebelles n’ont pas combattus car les forces de Gbagbo avaient le moral très bas. Ces rebelles pensent qu’ils ont fait quelque chose d’extraordinaire. La preuve, Yopougon n’a pas pu être désarmé malgré les amulettes qu’ils portent sur leurs bras. Tout le monde sait comment Gbagbo a été arrêté. Pour terminer, je voudrais attirer l’attention du chef de l’État sur les soldats des forces nouvelles de Soro. Ces jeunes gens doivent être encadrés par des officiers intellectuels et professionnels et non par des criminels qui n’ont eu leur prestige que dans l’élimination de leurs frères d’armes dissidents. Sinon, ils pourraient nuire au processus de paix. Pas très longtemps, Wattao avait menacé Zakaria en le traitant de vaurien et qu’il ne savait pas utiliser un fusil. Il le dénigrait dans les journaux. Wattao avait massacré les éléments de Zakaria à Séguéla. Tous ces soldats doivent tirer leur révérence, sinon ce sont des dangers pour la paix. La Côte d’Ivoire a besoin de paix et des officiers intellectuels et non des criminels. La symphonie des règlements de compte doit s’arrêter. C’est un impératif.
Texte approuvé par :
Lanciné Bamba/ /Oslo/Norvège
Koné Daouda/Belgique
Kouakou Edmond/Cocody/ Côte d’Ivoire
Djakaridja Koné/ Odienné/Côte d’Ivoire
Adama Tounkara/ Abobo/Abidjan
Francis Gnonogo Jonas/Abidjan
Bamba Fanta/Séguéla/ Côte d’Ivoire
Coulibaly Fousseyni/Paris/ France
Bema Diaby/USA
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