Pour sa première sortie après la crise post-électorale, la Jeunesse de l’Union pour la démocratie et pour la paix en Côte d’Ivoire s’est réunie en assemblée générale ordinaire. La question de la lumière sur la mort de Guéi Robert a refait surface.
Visiblement, chacun a sa condition pour aller à la réconciliation nationale. A l’Union pour la démocratie et pour la paix en Côte d’Ivoire (Udpci), on insiste pour que la lumière soit faite sur la mort du président-fondateur, le général Guéi Robert. Le président de la Jeunesse de l’Union pour la démocratie et pour la paix en Côte d’Ivoire (JUdpci) a réitéré ce souci du parti arc-en-ciel, hier, au cours d’une assemblée générale ordinaire (Ago) de la JUdpci. « La réconciliation doit commencer le 19 septembre (date de la mort de Guéi Robert, ndlr). Gbagbo a eu la chance d’être épargné. Mais en 2002, le gal Guéi et sa famille n’ont pas eu cette chance », a confié Kouadio Yao Séraphin. Pour lui, la Commission dialogue, vérité, réconciliation doit prendre en compte cette période de l’histoire pour une réconciliation vraie : « on doit savoir avec la commission pourquoi il (Guéi) a été tué ». De l’avis de l’intervenant, « la réconciliation doit se faire dans la vérité afin que la Côte d’Ivoire ne connaisse plus ce qui s’est passé. Nous n’avions jamais pensé qu’un Ivoirien puisse brûler son voisin vif », « nous sommes condamnés à vivre ensemble. Tous ceux qui ont envoyé cette guerre depuis le 28 (novembre) doivent être jugés ». Kouadio Séraphin a invité le président de la République à la fermeté afin que la réconciliation soit réelle. Selon le président de la JUdpci, l’A.g.o qui était ouverte aux présidents communaux du district d’Abidjan et aux organisations estudiantines visait à faire le point de la crise post-électorale. Et, à transmettre le message de félicitation d’Alassane Ouattara à la jeunesse. Il a relevé la nécessité d’organiser les législatives au plus tôt afin que soient réunies les conditions de «la bonne gouvernance chère au président Ouattara ». Le patron de la JUdpci a souhaité que la réhabilitation des cités universitaires prenne fin rapidement. Non sans avoir insisté sur le besoin d’y affecter les étudiants qui en ont vraiment le droit. Il a félicité le président de la République, le Premier ministre et les forces républicaines pour les efforts afin de mettre fin au régime illégal de Laurent Gbagbo. Et, a réitéré le soutien de la jeunesse du parti arc-en-ciel aux actions de son président, Mabri Toikeusse.
Bamba K. Inza
Visiblement, chacun a sa condition pour aller à la réconciliation nationale. A l’Union pour la démocratie et pour la paix en Côte d’Ivoire (Udpci), on insiste pour que la lumière soit faite sur la mort du président-fondateur, le général Guéi Robert. Le président de la Jeunesse de l’Union pour la démocratie et pour la paix en Côte d’Ivoire (JUdpci) a réitéré ce souci du parti arc-en-ciel, hier, au cours d’une assemblée générale ordinaire (Ago) de la JUdpci. « La réconciliation doit commencer le 19 septembre (date de la mort de Guéi Robert, ndlr). Gbagbo a eu la chance d’être épargné. Mais en 2002, le gal Guéi et sa famille n’ont pas eu cette chance », a confié Kouadio Yao Séraphin. Pour lui, la Commission dialogue, vérité, réconciliation doit prendre en compte cette période de l’histoire pour une réconciliation vraie : « on doit savoir avec la commission pourquoi il (Guéi) a été tué ». De l’avis de l’intervenant, « la réconciliation doit se faire dans la vérité afin que la Côte d’Ivoire ne connaisse plus ce qui s’est passé. Nous n’avions jamais pensé qu’un Ivoirien puisse brûler son voisin vif », « nous sommes condamnés à vivre ensemble. Tous ceux qui ont envoyé cette guerre depuis le 28 (novembre) doivent être jugés ». Kouadio Séraphin a invité le président de la République à la fermeté afin que la réconciliation soit réelle. Selon le président de la JUdpci, l’A.g.o qui était ouverte aux présidents communaux du district d’Abidjan et aux organisations estudiantines visait à faire le point de la crise post-électorale. Et, à transmettre le message de félicitation d’Alassane Ouattara à la jeunesse. Il a relevé la nécessité d’organiser les législatives au plus tôt afin que soient réunies les conditions de «la bonne gouvernance chère au président Ouattara ». Le patron de la JUdpci a souhaité que la réhabilitation des cités universitaires prenne fin rapidement. Non sans avoir insisté sur le besoin d’y affecter les étudiants qui en ont vraiment le droit. Il a félicité le président de la République, le Premier ministre et les forces républicaines pour les efforts afin de mettre fin au régime illégal de Laurent Gbagbo. Et, a réitéré le soutien de la jeunesse du parti arc-en-ciel aux actions de son président, Mabri Toikeusse.
Bamba K. Inza