Le secrétaire général du MCR (Mouvement pour la conscience républicaine), était le jeudi 19 mai 2011 au Plateau-Dokui pour sensibiliser ses compatriotes sur la nécessité d’aller à une vraie réconciliation nationale.
Pour Karim Ouattara, la paix et la réconciliation sont les seuls gages à même de permettre aux nouvelles autorités d’amorcer un développement harmonieux de la Côte d’Ivoire. «Alassane Ouattara ne peut pas trouver du travail à chaque Ivoirien. Mais il ne peut que créer les conditions pour que les investisseurs viennent nous aider à résoudre nos problèmes surtout celui du chômage des jeunes », a-t-il souligné. Ces conditions, poursuit-il, passent essentiellement par la réussite du processus de réconciliation nationale. Un processus dont le succès, dira-t-il, dépend de l’implication de tous. « Nous devons faire bloc autour du Premier ministre Charles Konan Banny pour la réussite de cette mission. Il faut que chacun s’approprie ce devoir. Allez partout pour parler de paix et de réconciliation afin que les jeunes trouvent du travail », a-t-il exhorté avant d’insister que la réconciliation nationale se fasse sous l’auspice de la justice. Un avis partagé par Zié Coulibaly de l’Apc (Alliance pour le changement) et Touré Adama de la Cngrci (Coordination nationale des gares routières de Côte d’Ivoire), invités à cette rencontre. Karim Ouattara a, en outre, saisi cette tribune pour interpeller toutes les personnes qui œuvrent pour que la Côte d’Ivoire retombe encore dans le chaos. « Ceux qui sont à l’extérieur et qui envoient des messages à leurs parents ici visant à nous faire retourner dans la guerre, ils doivent arrêter cela », a-t-il lancé. Ce rendez-vous a été initié par le mouvement Colombe Ivoire du Plateau-Dokui, dirigé par Sekou Sylla. Une organisation qui entend jouer pleinement sa partition dans le processus de réconciliation nationale.
R.Dibi
Pour Karim Ouattara, la paix et la réconciliation sont les seuls gages à même de permettre aux nouvelles autorités d’amorcer un développement harmonieux de la Côte d’Ivoire. «Alassane Ouattara ne peut pas trouver du travail à chaque Ivoirien. Mais il ne peut que créer les conditions pour que les investisseurs viennent nous aider à résoudre nos problèmes surtout celui du chômage des jeunes », a-t-il souligné. Ces conditions, poursuit-il, passent essentiellement par la réussite du processus de réconciliation nationale. Un processus dont le succès, dira-t-il, dépend de l’implication de tous. « Nous devons faire bloc autour du Premier ministre Charles Konan Banny pour la réussite de cette mission. Il faut que chacun s’approprie ce devoir. Allez partout pour parler de paix et de réconciliation afin que les jeunes trouvent du travail », a-t-il exhorté avant d’insister que la réconciliation nationale se fasse sous l’auspice de la justice. Un avis partagé par Zié Coulibaly de l’Apc (Alliance pour le changement) et Touré Adama de la Cngrci (Coordination nationale des gares routières de Côte d’Ivoire), invités à cette rencontre. Karim Ouattara a, en outre, saisi cette tribune pour interpeller toutes les personnes qui œuvrent pour que la Côte d’Ivoire retombe encore dans le chaos. « Ceux qui sont à l’extérieur et qui envoient des messages à leurs parents ici visant à nous faire retourner dans la guerre, ils doivent arrêter cela », a-t-il lancé. Ce rendez-vous a été initié par le mouvement Colombe Ivoire du Plateau-Dokui, dirigé par Sekou Sylla. Une organisation qui entend jouer pleinement sa partition dans le processus de réconciliation nationale.
R.Dibi
