Des choses ont été dites et écrites. Beaucoup de choses. Des choses positives comme des choses négatives. En bien et en mal. Afin que chacun apprenne à assumer ses écrits, au moment où les anciens du camp Gbagbo veulent rejoindre le train de la réconciliation, sans aucun mea-culpa, sur leurs agissements passés. Tous veulent s’abriter derrière Paul Yao N’Dré, sur l’exigence de servir les institutions, pour justifier les actes librement posés. L’Intelligent d’Abidjan, passe à nouveau les articles écrits il y a 6 ans, pour rappeler à tous que les écrits restent, la parole s’envole. Ces lettres écrites, il y a 6 ans, ne sont pas parfaites. Elles recèlent beaucoup de naïveté et d’imperfections, quelques incorrections. Mais dans l’ensemble, ces 3 lettres ouvertes, témoignent d’un regard critique et perspicace sur la situation sociopolitique de la Côte d’Ivoire. Si les uns et les autres avaient lu et cru en l’Intelligent d’Abidjan, les données auraient-elles changé ? Pas question d’oser croire à cela.
Mais il est utile de rappeler aux journalistes l’exigence de responsabilité, tout en demandant aux hommes politiques à leur flair, qu’à leurs convictions. Nous attendons les réactions de nos lecteurs sur les éventuelles erreurs d’analyse et d’appréciation, contenues dans ces lettres ouvertes écrites, il y a 6 ans.
Mais il est utile de rappeler aux journalistes l’exigence de responsabilité, tout en demandant aux hommes politiques à leur flair, qu’à leurs convictions. Nous attendons les réactions de nos lecteurs sur les éventuelles erreurs d’analyse et d’appréciation, contenues dans ces lettres ouvertes écrites, il y a 6 ans.