Les déclarations du président américain Barack Obama évoquant les lignes de 1967 comme base de négociation pour un Etat palestinien sont un pas dans la bonne direction, a affirmé dimanche le président palestinien Mahmoud Abbas selon son porte-parole.
Le président Abbas, qui a contacté plusieurs dirigeants arabes et occidentaux, a souligné que tous ses interlocuteurs ont fait part de leur appréciation de la position réitérée du président Obama en faveur d`un Etat palestinien sur la base des frontières de 1967, a déclaré à l`AFP son porte-parole Nabil Abou Roudeina.
Pour le président Abbas, la position de M. Obama est un pas dans la bonne direction, a souligné M. Abou Roudeina.
Le président palestinien a par ailleurs décidé de convoquer mercredi à Ramallah (Cisjordanie) le comité exécutif de l`Organisation de libération de la Palestine (OLP) pour débattre des récents développements.
Il se rendra ensuite samedi à Doha, au Qatar, pour participer à une réunion du Comité de suivi de la Ligue arabe afin d`examiner les retombées des déclarations du président américain, en particulier sur la question des frontières du futur Etat de Palestine.
Barack Obama a réaffirmé dimanche que les pourparlers de paix entre Israël et les Palestiniens devaient être fondés sur les lignes de juin 1967, soit avant l`occupation israélienne de Jérusalem-Est, la Cisjordanie et la bande de Gaza
Depuis plusieurs mois, les Palestiniens réclament pour reprendre les négociations --outre un moratoire sur la colonisation israélienne-- des bases claires, une demande à laquelle le président américain a accédé jeudi en se prononçant pour la première fois explicitement pour un Etat palestinien sur la base des lignes de 1967, moyennant des échanges de territoire.
M. Obama s`adressant dimanche à l`assemblée annuelle de l`AIPAC, le principal lobby pro-israélien aux Etats-Unis, a souligné toutefois que la frontière serait différente de celle qui existait le 4 juin 1967, en référence notamment aux blocs de colonies qu`Israël souhaite annexer en cas d`accord de paix.
Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, qui doit parler lundi à son tour devant l`AIPAC, a sèchement rejeté toute référence aux lignes de 1967.
Le président Abbas, qui a contacté plusieurs dirigeants arabes et occidentaux, a souligné que tous ses interlocuteurs ont fait part de leur appréciation de la position réitérée du président Obama en faveur d`un Etat palestinien sur la base des frontières de 1967, a déclaré à l`AFP son porte-parole Nabil Abou Roudeina.
Pour le président Abbas, la position de M. Obama est un pas dans la bonne direction, a souligné M. Abou Roudeina.
Le président palestinien a par ailleurs décidé de convoquer mercredi à Ramallah (Cisjordanie) le comité exécutif de l`Organisation de libération de la Palestine (OLP) pour débattre des récents développements.
Il se rendra ensuite samedi à Doha, au Qatar, pour participer à une réunion du Comité de suivi de la Ligue arabe afin d`examiner les retombées des déclarations du président américain, en particulier sur la question des frontières du futur Etat de Palestine.
Barack Obama a réaffirmé dimanche que les pourparlers de paix entre Israël et les Palestiniens devaient être fondés sur les lignes de juin 1967, soit avant l`occupation israélienne de Jérusalem-Est, la Cisjordanie et la bande de Gaza
Depuis plusieurs mois, les Palestiniens réclament pour reprendre les négociations --outre un moratoire sur la colonisation israélienne-- des bases claires, une demande à laquelle le président américain a accédé jeudi en se prononçant pour la première fois explicitement pour un Etat palestinien sur la base des lignes de 1967, moyennant des échanges de territoire.
M. Obama s`adressant dimanche à l`assemblée annuelle de l`AIPAC, le principal lobby pro-israélien aux Etats-Unis, a souligné toutefois que la frontière serait différente de celle qui existait le 4 juin 1967, en référence notamment aux blocs de colonies qu`Israël souhaite annexer en cas d`accord de paix.
Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, qui doit parler lundi à son tour devant l`AIPAC, a sèchement rejeté toute référence aux lignes de 1967.