Le Collectif des organisations de la société civile de Côte d'Ivoire entend
prendre part au processus de réconciliation nationale. Réunis en assemblée
générale jeudi à la salle de conférence de la COOPEC d'Abobo, les membres de
cette nouvelle organisation de la société civile qui se veut une plate-forme en
vue de la réconciliation nationale, ont posé les jalons de ce processus. M. Yéo
Tiéba, un des organisateurs de cette plate-forme, affirme que le COSCI entend
s'inscrire dans la droite ligne du message de paix et de réconciliation nationale
lancé par le chef de l'Etat. « Nous nous engageons dans la dynamique de
réconciliation nationale en vue de la restauration du tissu social et économique
qui a été profondément entamé au cours de cette crise » a affirmé M. Yéo. La
cérémonie était parrainée par Sékongo Félicien, porte-parole du Secrétaire
général des Forces nouvelles. Celui-ci, dans son adresse aux membres du
COSCI a dit que la lutte n'était pas terminée. Et qu'il fallait se battre pour
imposer la paix et la réconciliation aux Ivoiriens. « Les jeunes de Côte d'Ivoire
ont l'obligation de faire en sorte que le pays se réconcilie », a-t-il recommandé.
Pour lui, c'est une nécessité pour la Côte d'Ivoire de voir ses enfants réconciliés.
Pour ce faire, M. Sékongo a demandé aux populations d'Abobo de bannir la
méfiance et la suspicion entre elles.
IB.K
prendre part au processus de réconciliation nationale. Réunis en assemblée
générale jeudi à la salle de conférence de la COOPEC d'Abobo, les membres de
cette nouvelle organisation de la société civile qui se veut une plate-forme en
vue de la réconciliation nationale, ont posé les jalons de ce processus. M. Yéo
Tiéba, un des organisateurs de cette plate-forme, affirme que le COSCI entend
s'inscrire dans la droite ligne du message de paix et de réconciliation nationale
lancé par le chef de l'Etat. « Nous nous engageons dans la dynamique de
réconciliation nationale en vue de la restauration du tissu social et économique
qui a été profondément entamé au cours de cette crise » a affirmé M. Yéo. La
cérémonie était parrainée par Sékongo Félicien, porte-parole du Secrétaire
général des Forces nouvelles. Celui-ci, dans son adresse aux membres du
COSCI a dit que la lutte n'était pas terminée. Et qu'il fallait se battre pour
imposer la paix et la réconciliation aux Ivoiriens. « Les jeunes de Côte d'Ivoire
ont l'obligation de faire en sorte que le pays se réconcilie », a-t-il recommandé.
Pour lui, c'est une nécessité pour la Côte d'Ivoire de voir ses enfants réconciliés.
Pour ce faire, M. Sékongo a demandé aux populations d'Abobo de bannir la
méfiance et la suspicion entre elles.
IB.K