Présent à Cotonou où il a assisté à la rencontre Bénin-Côte d’Ivoire, le président de la Fif, Jacques Anouma, a échangé avec le ministre des Sports, Philippe Legré. Le patron du sport en Côte d’Ivoire a fait cas des attentes de son département.
La qualification des Eléphants avant terme procure beaucoup de joie au président de la Fif, Jacques Anouma. A Cotonou où il a été témoin de la brillante victoire des Eléphants, le patron du football ivoirien a saisi l’occasion pour faire la connaissance du nouveau locataire du
ministère des Sports, Philippe Legré. Les deux hommes ont évoqué un certain nombre de questions relatives au développement du sport en général et celui du football en particulier. Le ministre Philippe Legré a transmis au président Jacques Anouma les attentes aussi bien
de son département que de l’exécutif. « Au cours de mon séjour à Cotonou, j’ai eu l’honneur d’échanger longuement avec le nouveau ministre des Sports. Il nous a transmis les félicitations et les encouragements du président de la République. Il nous a également
exprimé le désir de l’exécutif de voir notre football maintenir son
rang, l’améliorer et surtout glaner des lauriers », a confié le président
de la Fif sur son site. Pour le président Jacques Anouma, c’est un
désir partagé. Le numéro un de la Fif est d’accord avec la volonté des
gouvernants de voir la Côte d’Ivoire brandir une seconde Coupe
d’Afrique, après celle de 1992. Il ne s’en cache pas et salue
l’engagement du nouveau ministre pour ce projet. « Je me félicite de
la volonté du ministre des Sports de travailler en étroite
collaboration et dans un esprit d’ouverture avec tous les acteurs du
sports dans notre pays », ajoute-t-il. D’ailleurs, c’est à la recherche
de cet objet d’art que le natif de Memni s’est lancé depuis les 9 ans
de sa gestion du football. Malheureusement, le trophée tant
recherché n’a pas encore pointé du nez. Le président de la Fif espère
avec les nouvelles autorités que la Côte d’Ivoire goûte à son
deuxième trophée. En attendant, les acquis sous l’ère Anouma sont
nombreux. C’est sous sa coupole que la Côte d’Ivoire a participé à
deux Coupes du monde (2006 et 2010). Deux participations qui ont
permis de se doter d’un minimum d’infrastructures : pelouse
synthétique, centre technique de football. La gestion de la maison
de la Fif a connu une évolution interne. Elle est désormais gérée
comme une véritable entreprise. Tous les clubs sont désormais
subventionnés. En outre, la Côte d’Ivoire est classée parmi les 30
meilleures sélections au monde. Et la sélection qui regorge de
joueurs de grosses pointures a de la cote dans le monde entier. Mais
il reste à la Côte d’Ivoire des lauriers pour donner plus de poids à ces
actions de développement initiées par la Fif.
Moïse N’guessan
Lég
une
La qualification des Eléphants avant terme procure beaucoup de joie au président de la Fif, Jacques Anouma. A Cotonou où il a été témoin de la brillante victoire des Eléphants, le patron du football ivoirien a saisi l’occasion pour faire la connaissance du nouveau locataire du
ministère des Sports, Philippe Legré. Les deux hommes ont évoqué un certain nombre de questions relatives au développement du sport en général et celui du football en particulier. Le ministre Philippe Legré a transmis au président Jacques Anouma les attentes aussi bien
de son département que de l’exécutif. « Au cours de mon séjour à Cotonou, j’ai eu l’honneur d’échanger longuement avec le nouveau ministre des Sports. Il nous a transmis les félicitations et les encouragements du président de la République. Il nous a également
exprimé le désir de l’exécutif de voir notre football maintenir son
rang, l’améliorer et surtout glaner des lauriers », a confié le président
de la Fif sur son site. Pour le président Jacques Anouma, c’est un
désir partagé. Le numéro un de la Fif est d’accord avec la volonté des
gouvernants de voir la Côte d’Ivoire brandir une seconde Coupe
d’Afrique, après celle de 1992. Il ne s’en cache pas et salue
l’engagement du nouveau ministre pour ce projet. « Je me félicite de
la volonté du ministre des Sports de travailler en étroite
collaboration et dans un esprit d’ouverture avec tous les acteurs du
sports dans notre pays », ajoute-t-il. D’ailleurs, c’est à la recherche
de cet objet d’art que le natif de Memni s’est lancé depuis les 9 ans
de sa gestion du football. Malheureusement, le trophée tant
recherché n’a pas encore pointé du nez. Le président de la Fif espère
avec les nouvelles autorités que la Côte d’Ivoire goûte à son
deuxième trophée. En attendant, les acquis sous l’ère Anouma sont
nombreux. C’est sous sa coupole que la Côte d’Ivoire a participé à
deux Coupes du monde (2006 et 2010). Deux participations qui ont
permis de se doter d’un minimum d’infrastructures : pelouse
synthétique, centre technique de football. La gestion de la maison
de la Fif a connu une évolution interne. Elle est désormais gérée
comme une véritable entreprise. Tous les clubs sont désormais
subventionnés. En outre, la Côte d’Ivoire est classée parmi les 30
meilleures sélections au monde. Et la sélection qui regorge de
joueurs de grosses pointures a de la cote dans le monde entier. Mais
il reste à la Côte d’Ivoire des lauriers pour donner plus de poids à ces
actions de développement initiées par la Fif.
Moïse N’guessan
Lég
une