Le 8 juin 2009, El Hadj Omar Bongo Ondimba décédait des suites d’un mal pernicieux qui le rongeait dans une clinique huppée de Barcelone en Espagne. Deux ans après, les Gabonais se souviennent de l’homme qui a bâti leur pays. Mercredi après-midi, la communauté gabonaise vivant en Côte d’Ivoire, à l’initiative de son ambassadeur Mounguenzi-Nzigou Faustin, lui a rendu hommage, avec en toile de fond une messe de requiem en la mémoire de l’illustre disparu. C’était à l’église Saint-Jacques de Cocody-Les Deux Plateaux. Le vicaire de cette paroisse, l’abbé Acaffou Daniel a prié pour le repos de l’âme d’El Hadj Omar Bongo Ondimba. Il a surtout rappelé les qualités intrinsèques de l’ancien président du Gabon et son engagement pour la paix en Afrique et dans le monde. C’est pourquoi, il a exhorté les fidèles présents à s’inspirer de l’œuvre du président Bongo en devenant des partisans de la paix.
De son côté, M. Mounguengui-Nzigou Faustin a loué les qualités de rassembleur et de bâtisseur de l’ex-chef d’Etat gabonais. « C’était humainement un grand homme pour l’Afrique, préoccupé par la recherche effrénée de la paix. Il était donc important pour nous de pouvoir nous replonger dans son souvenir, de se remémorer de ce qu’il a fait », a ajouté le diplomate gabonais.
Né le 30 décembre 1935 à Lewaï, El Hadj Omar Bongo a présidé à la tête du Gabon de 1967 à sa mort.
Y. Sangaré
De son côté, M. Mounguengui-Nzigou Faustin a loué les qualités de rassembleur et de bâtisseur de l’ex-chef d’Etat gabonais. « C’était humainement un grand homme pour l’Afrique, préoccupé par la recherche effrénée de la paix. Il était donc important pour nous de pouvoir nous replonger dans son souvenir, de se remémorer de ce qu’il a fait », a ajouté le diplomate gabonais.
Né le 30 décembre 1935 à Lewaï, El Hadj Omar Bongo a présidé à la tête du Gabon de 1967 à sa mort.
Y. Sangaré