Cinq jours après l’Assemblée générale mixte de la Fédération ivoirienne de football, Sangaré Mohamadou, vice-président de l’As Divo, revient sur son altercation avec Sory Diabaté, président de la Ligue Professionnelle.
«Je suis surpris des propos de monsieur Sory Diabaté. Jamais pour assister une AG de la FIF, l’on ne demande
la carte du comité directeur d’un club ou de la FIF. C’est le mandat qui fait foi. J’ai un mandat en ma possession et signé par le président de l’As Divo. Je suis le 5e vice-président de l’AS Divo depuis décembre 2010. Il ne faut pas que M Sory Diabaté confonde
les conditions d’entrée à une assemblée générale ordinaire ou extraordinaire prévues par nos textes à son article 16 (statuts anciens) et qui stipulent que l’AG est composée de délégués, dûment mandatés par des membres actifs de la FIF et l’entrée au stade qui est organisée par un règlement intérieur, prévu dans nos textes, mais, qui n’a jamais vu le jour. En conséquence de ce qui précède, M Sory, anciennement secrétaire général de la FIF, aujourd’hui vice-président et président de la Ligue Pro, ne connaît pas les textes édités par sa propre fédération », a fait savoir Sangaré Mohamadou, 5e vice-président de l’AS Daoukro.
Poursuivant, il a dit être dans son droit de représenter le club de l’AS Divo à cette AG mixte, contrairement au point de vue du patron, de la Ligue Pro. Concernant sa fonction à la FIF, Sangaré fait cette mise au point : « J’ai été contacté pour suivre un projet. J’étais un consultant et non un travailleur de la FIF. C’est parce que la DTN était défaillante que la FIF a sollicité mon expertise.
Rien d’autre ». Sangaré Mohamadou qui souhaite des débats civilisés en cette période électorale à la FIF, ne veut en aucun cas manquer de respect aux dirigeants de la FIF. Aussi voudrait-il que la vérité et le bon sens animent les uns et les autres. Pour lui, tous les délégués mandatés par leurs clubs se valent et il ne faut pas que
des travailleurs ou responsables de la FIF, cherchent à discriminer certains responsables de clubs.
Annoncia Sehoué
«Je suis surpris des propos de monsieur Sory Diabaté. Jamais pour assister une AG de la FIF, l’on ne demande
la carte du comité directeur d’un club ou de la FIF. C’est le mandat qui fait foi. J’ai un mandat en ma possession et signé par le président de l’As Divo. Je suis le 5e vice-président de l’AS Divo depuis décembre 2010. Il ne faut pas que M Sory Diabaté confonde
les conditions d’entrée à une assemblée générale ordinaire ou extraordinaire prévues par nos textes à son article 16 (statuts anciens) et qui stipulent que l’AG est composée de délégués, dûment mandatés par des membres actifs de la FIF et l’entrée au stade qui est organisée par un règlement intérieur, prévu dans nos textes, mais, qui n’a jamais vu le jour. En conséquence de ce qui précède, M Sory, anciennement secrétaire général de la FIF, aujourd’hui vice-président et président de la Ligue Pro, ne connaît pas les textes édités par sa propre fédération », a fait savoir Sangaré Mohamadou, 5e vice-président de l’AS Daoukro.
Poursuivant, il a dit être dans son droit de représenter le club de l’AS Divo à cette AG mixte, contrairement au point de vue du patron, de la Ligue Pro. Concernant sa fonction à la FIF, Sangaré fait cette mise au point : « J’ai été contacté pour suivre un projet. J’étais un consultant et non un travailleur de la FIF. C’est parce que la DTN était défaillante que la FIF a sollicité mon expertise.
Rien d’autre ». Sangaré Mohamadou qui souhaite des débats civilisés en cette période électorale à la FIF, ne veut en aucun cas manquer de respect aux dirigeants de la FIF. Aussi voudrait-il que la vérité et le bon sens animent les uns et les autres. Pour lui, tous les délégués mandatés par leurs clubs se valent et il ne faut pas que
des travailleurs ou responsables de la FIF, cherchent à discriminer certains responsables de clubs.
Annoncia Sehoué