La rumeur folle aura couru la ville toute la matinée du samedi dernier. Il était ainsi question d’une déclaration à la presse du président- délégué Eric Tiacoh, qui assure actuellement l’intérim de la présidence du club, pour trois mois. L’homme devrait, à l’occasion, faire une grave déclaration dans laquelle il aurait rendu publique sa décision de démissionner de son poste. Du coup, certains n’avaient pas hésité à conclure que le match Africa-Jca-T, programmé au stade Champroux dans l’après-midi du même samedi, n’aura certainement pas lieu.
A l’arrivée, il n’en a rien été. Les Aiglons ont bel et bien foulé la pelouse du Champroux d’où ils sont repartis avec une belle victoire aux dépens des Treichvillois (2-0). Mais point d’Eric Tiacoh dans la loge officielle où avait pris place son homme de main Serges Dacoury. Une absence qui a d’ailleurs intrigué plus d’un. Eric Tiacoh, qui a fait des pieds et des mains afin qu’on le laisse goûter à l’immense plaisir d’avoir à gérer un patrimoine de l’importance de l’Africa Sport, se serait-il finalement ravisé ? Face à l’étendue de la tâche et par ces temps de récession économique, il y a de quoi à réfléchir par deux fois. Tout porte à croire
que le jeune Eric Tiacoh est arrivé au bout du rouleau et qu’il va falloir
trouver des bras plus puissants pour tenir le club et le temps presse.
Des indiscrétions parlent ainsi d’une mutinerie des joueurs qui auraient quitté leur centre de mise au vert vendredi, parce que la direction n’aurait pas honoré certaines promesses. Celles-ci portent-elles sur les salaires ou les primes de matchs ? Mystère et boule de gomme. En attendant, la rumeur court et risque de prendre d’inquiétantes proportions cette semaine. ‘‘Le petit Eric Tiacoh a tenté quelque chose. Mais il est en train de se rendre compte que l’Africa Sport est trop grand pour lui et que
c’est presque mission impossible pour lui. Il ne peut plus continuer’’, a analysé sous le couvert de l’anonymat, un proche de la direction.
En tout cas, voici une situation qui pourrait bien tout précipiter.
La fin de l’intérim pourrait être avancée et ouvrir ainsi la voie au processus de désignation d’un nouveau patron à la tête de la Maison vert et rouge. Reste que ça ne se bouscule plus au portail vert et rouge comme auparavant. Qui, en effet, par ces difficiles moments sur le plan économique, acceptera-t-il de s’engager pour un club pour lequel il faut un budget minimum de 500 millions de francs par an ? Affaire à suivre.
PB
A l’arrivée, il n’en a rien été. Les Aiglons ont bel et bien foulé la pelouse du Champroux d’où ils sont repartis avec une belle victoire aux dépens des Treichvillois (2-0). Mais point d’Eric Tiacoh dans la loge officielle où avait pris place son homme de main Serges Dacoury. Une absence qui a d’ailleurs intrigué plus d’un. Eric Tiacoh, qui a fait des pieds et des mains afin qu’on le laisse goûter à l’immense plaisir d’avoir à gérer un patrimoine de l’importance de l’Africa Sport, se serait-il finalement ravisé ? Face à l’étendue de la tâche et par ces temps de récession économique, il y a de quoi à réfléchir par deux fois. Tout porte à croire
que le jeune Eric Tiacoh est arrivé au bout du rouleau et qu’il va falloir
trouver des bras plus puissants pour tenir le club et le temps presse.
Des indiscrétions parlent ainsi d’une mutinerie des joueurs qui auraient quitté leur centre de mise au vert vendredi, parce que la direction n’aurait pas honoré certaines promesses. Celles-ci portent-elles sur les salaires ou les primes de matchs ? Mystère et boule de gomme. En attendant, la rumeur court et risque de prendre d’inquiétantes proportions cette semaine. ‘‘Le petit Eric Tiacoh a tenté quelque chose. Mais il est en train de se rendre compte que l’Africa Sport est trop grand pour lui et que
c’est presque mission impossible pour lui. Il ne peut plus continuer’’, a analysé sous le couvert de l’anonymat, un proche de la direction.
En tout cas, voici une situation qui pourrait bien tout précipiter.
La fin de l’intérim pourrait être avancée et ouvrir ainsi la voie au processus de désignation d’un nouveau patron à la tête de la Maison vert et rouge. Reste que ça ne se bouscule plus au portail vert et rouge comme auparavant. Qui, en effet, par ces difficiles moments sur le plan économique, acceptera-t-il de s’engager pour un club pour lequel il faut un budget minimum de 500 millions de francs par an ? Affaire à suivre.
PB