Une peur-panique s’est emparée des habitants de Bocabo, sous quartier du village d’Anonkoua Kouté, dans la commune d’Abobo. Des pilleurs des biens des villageois d’Anonkoua Kouté qui vivent dans cette localité ont eu la visite éclair d’une foudre provoquée par un tonnerre mystérieux.
«Un bien mal acquis ne profite jamais ». Les pilleurs du village d’Anonkoua Kouté dans la commune d’Abobo en ont pris à leurs dépens. En effet, les détenteurs illégaux des biens volés dans le village ont le sommeil troublé. Depuis quelques semaines et cela en ces temps de pluies, il se passe des choses bizarres dans les environs du sous quartier Bocabo. Lorsqu’il commence à pleuvoir a-t-on appris, et que le tonnerre se met à gronder, des personnes se mettent elles aussi en transe. Pris par une peur panique, des gens camouflés commencent à jeter à travers leurs fenêtres, des objets de tous genres. De sources dignes de foi, ces personnes viennent discrètement déposer dans un coin de la rue des vêtements, des sacs et même des pagnes de cérémonies traditionnelles appartenant aux dignitaires Atchans. Impossible de retrouver la provenance de ces objets et habits de grande valeur que le voisinage découvre avec stupéfaction en ces moments de pluie. Selon des indiscrétions provenant de Bocabo, il s’agirait sans doute de ceux qui ont pillé les villageois d’Anonkoua Kouté, au cours de l’attaque du Pk18. Ces personnes détentrices des biens volés prennent froid dès que le ciel s’assombrit et que le tonnerre commence à se manifester. Certains en sont même malades et commencent à avouer, apprend-on. Les autres détenteurs de ces biens volés, pris de peur panique commencent à se débarrasser de leurs biens trop encombrants. D’autres sources nous annoncent que des gens seraient mystérieusement décédés aux domiciles desquels l’on aurait découvert d’importants lots d’objets volés. Dans ce sous quartier de la commune d’Abobo, personne ne veut en parler, de peur de subir la colère de la foudre. Est-ce le début d’une vengeance céleste des ancêtres Atchans qui, dans le silence de la nuit du 6 mars dernier avaient assisté sans mot dire aux pillages de leurs patrimoines sacrés ? Dans le village d’Anonkoua Kouté, personne ne souffle un seul mot de ce qui se passe à Bocabo. Aussi, notre tentative de percer le mystère qui frappe cette localité s’est heurtée à un mur de refus. Les habitants de cette même localité refusent à leur tour tout contact avec un inconnu. D’autres sources nous apprennent que des personnes de ce sous quartier ont déjà contracté des maladies bizarres dont on ignore l’origine. C’est l’angoisse totale et la population de Bocabo vit depuis ces manifestations mystérieuses avec une certaine anxiété.
Jean Baptiste Essis
«Un bien mal acquis ne profite jamais ». Les pilleurs du village d’Anonkoua Kouté dans la commune d’Abobo en ont pris à leurs dépens. En effet, les détenteurs illégaux des biens volés dans le village ont le sommeil troublé. Depuis quelques semaines et cela en ces temps de pluies, il se passe des choses bizarres dans les environs du sous quartier Bocabo. Lorsqu’il commence à pleuvoir a-t-on appris, et que le tonnerre se met à gronder, des personnes se mettent elles aussi en transe. Pris par une peur panique, des gens camouflés commencent à jeter à travers leurs fenêtres, des objets de tous genres. De sources dignes de foi, ces personnes viennent discrètement déposer dans un coin de la rue des vêtements, des sacs et même des pagnes de cérémonies traditionnelles appartenant aux dignitaires Atchans. Impossible de retrouver la provenance de ces objets et habits de grande valeur que le voisinage découvre avec stupéfaction en ces moments de pluie. Selon des indiscrétions provenant de Bocabo, il s’agirait sans doute de ceux qui ont pillé les villageois d’Anonkoua Kouté, au cours de l’attaque du Pk18. Ces personnes détentrices des biens volés prennent froid dès que le ciel s’assombrit et que le tonnerre commence à se manifester. Certains en sont même malades et commencent à avouer, apprend-on. Les autres détenteurs de ces biens volés, pris de peur panique commencent à se débarrasser de leurs biens trop encombrants. D’autres sources nous annoncent que des gens seraient mystérieusement décédés aux domiciles desquels l’on aurait découvert d’importants lots d’objets volés. Dans ce sous quartier de la commune d’Abobo, personne ne veut en parler, de peur de subir la colère de la foudre. Est-ce le début d’une vengeance céleste des ancêtres Atchans qui, dans le silence de la nuit du 6 mars dernier avaient assisté sans mot dire aux pillages de leurs patrimoines sacrés ? Dans le village d’Anonkoua Kouté, personne ne souffle un seul mot de ce qui se passe à Bocabo. Aussi, notre tentative de percer le mystère qui frappe cette localité s’est heurtée à un mur de refus. Les habitants de cette même localité refusent à leur tour tout contact avec un inconnu. D’autres sources nous apprennent que des personnes de ce sous quartier ont déjà contracté des maladies bizarres dont on ignore l’origine. C’est l’angoisse totale et la population de Bocabo vit depuis ces manifestations mystérieuses avec une certaine anxiété.
Jean Baptiste Essis