La présentatrice-vedette du journal télévisé de 20 h, notre consœur Habiba Dembélé est très populaire en Guinée Equatoriale. Elle a été longuement ovationnée lorsqu’elle a fait son entrée dans la salle où devait se tenir la rencontre entre la communauté ivoirienne et le président de la République. A la fin de la rencontre, elle a éprouvé toutes les difficultés pour sortir parce que chacun voulait faire des prises de vue avec elle. C’est ‘’sous escorte’’ des organisateurs que la journaliste a regagné le car où l’attendaient ses confrères. Même à l’aéroport, elle n’est pas passée inaperçue.
10 millions de F CFA aux Ivoiriens
Une enveloppe kaki contentant la somme de 20 mille dollars, soit 10 millions de CFA a été remise à la communauté ivoirienne vivant en Guinée Equatoriale. Un geste salué à sa juste valeur par les heureux bénéficiaires.
Environ 1000 Ivoiriens en Guinée Equatoriale
La colonie ivoirienne qui vit en Guinée Equatoriale est estimée à un millier de personnes. 600 sont basés dans la capitale Malabo et 400 à Bata, l’une des plus belles villes du pays. Ils sont donc venus de ces deux principales cités pour assister à la rencontre avec leur président.
Des Ivoiriens s’en sortent bien à Malabo
Parmi les 600 Ivoiriens qui vivent à Malabo, quelques-uns s’en sortent bien et même très bien. Certains travaillent avec l’Etat tandis que d’autres sont dans les affaires. Ils ont été d’un grand apport à la délégation présidentielle et à celle des journalistes. C’est à juste titre que le président de la République lui-même a tenu à leur dire merci pour leur disponibilité.
Un pays très cher
La Guinée Equatoriale est l’un des pays africains les plus chers. Quelques exemples pour vous édifier: si vous voulez louer un studio, c’est au moins 160 mille F CFA par mois qu’il faut prévoir, la papaye est à 2000 F CFA, la petite tasse de thé se vend à 1000 F CFA, tandis qu’un ananas vaut la bagatelle de 10 mille F CFA. Quant une orange se vend à 250 F CFA et la minute de communication hors du pays est facturée à 1600 F CFA. Le déplacement en ‘’taxi’’ simple (il n’y a pas de compteur) vous revient à, au moins 500 F CFA. Cette somme peut être majorée en fonction de la distance. Cette cherté de la vie est due au fait que tout est exporté soit du Gabon, du Cameroun ou de l’Espagne.
Connaissez-vous la ‘’multa’’ ? (Lisez ‘’moulta’’)
C’est une pancarte affichée juste à côté d’une boite de nuit contiguë à un commissariat qui attire l’attention des journalistes ivoiriens. Il y est écrit qu’il est ‘’interdit de pisser’’. Et savez-vous le montant de la ‘’multa’’ (l’amende)? C’est la somme bien comptée de 500 mille F CFA. C’est sans doute ce qui explique le fait que la ville soit très propre. Et ce n’est pas tout. Lorsque vous faites un accident, c’est 1, 500 million à payer. Même si vous cognez un poteau électrique. Dans le cas où le conducteur meurt dans l’accident, la famille paie le montant avant de renter en possession de la dépouille mortelle.
Des patrouilles policières en Hummer
Les policiers de Guinée Equatoriale vont faire pâlir leurs ‘’collègues’’ ivoiriens de jalousie. Là bas, les policiers effectuent leurs patrouilles, tenez-vous bien en … Hummer. Ces gros bolides à bord desquels certains fortunés paradent dans les rues remplies de nids de poule d’Abidjan sont donc les véhicules de patrouille des policiers équato-guinéens. Par ailleurs, pendant notre séjour, l’on a remarqué plus de véhicules 4X4 que de ‘’petites voitures’’. Alors qu’il n’y a aucun nid de poule sur le bitume.
10 millions de F CFA aux Ivoiriens
Une enveloppe kaki contentant la somme de 20 mille dollars, soit 10 millions de CFA a été remise à la communauté ivoirienne vivant en Guinée Equatoriale. Un geste salué à sa juste valeur par les heureux bénéficiaires.
Environ 1000 Ivoiriens en Guinée Equatoriale
La colonie ivoirienne qui vit en Guinée Equatoriale est estimée à un millier de personnes. 600 sont basés dans la capitale Malabo et 400 à Bata, l’une des plus belles villes du pays. Ils sont donc venus de ces deux principales cités pour assister à la rencontre avec leur président.
Des Ivoiriens s’en sortent bien à Malabo
Parmi les 600 Ivoiriens qui vivent à Malabo, quelques-uns s’en sortent bien et même très bien. Certains travaillent avec l’Etat tandis que d’autres sont dans les affaires. Ils ont été d’un grand apport à la délégation présidentielle et à celle des journalistes. C’est à juste titre que le président de la République lui-même a tenu à leur dire merci pour leur disponibilité.
Un pays très cher
La Guinée Equatoriale est l’un des pays africains les plus chers. Quelques exemples pour vous édifier: si vous voulez louer un studio, c’est au moins 160 mille F CFA par mois qu’il faut prévoir, la papaye est à 2000 F CFA, la petite tasse de thé se vend à 1000 F CFA, tandis qu’un ananas vaut la bagatelle de 10 mille F CFA. Quant une orange se vend à 250 F CFA et la minute de communication hors du pays est facturée à 1600 F CFA. Le déplacement en ‘’taxi’’ simple (il n’y a pas de compteur) vous revient à, au moins 500 F CFA. Cette somme peut être majorée en fonction de la distance. Cette cherté de la vie est due au fait que tout est exporté soit du Gabon, du Cameroun ou de l’Espagne.
Connaissez-vous la ‘’multa’’ ? (Lisez ‘’moulta’’)
C’est une pancarte affichée juste à côté d’une boite de nuit contiguë à un commissariat qui attire l’attention des journalistes ivoiriens. Il y est écrit qu’il est ‘’interdit de pisser’’. Et savez-vous le montant de la ‘’multa’’ (l’amende)? C’est la somme bien comptée de 500 mille F CFA. C’est sans doute ce qui explique le fait que la ville soit très propre. Et ce n’est pas tout. Lorsque vous faites un accident, c’est 1, 500 million à payer. Même si vous cognez un poteau électrique. Dans le cas où le conducteur meurt dans l’accident, la famille paie le montant avant de renter en possession de la dépouille mortelle.
Des patrouilles policières en Hummer
Les policiers de Guinée Equatoriale vont faire pâlir leurs ‘’collègues’’ ivoiriens de jalousie. Là bas, les policiers effectuent leurs patrouilles, tenez-vous bien en … Hummer. Ces gros bolides à bord desquels certains fortunés paradent dans les rues remplies de nids de poule d’Abidjan sont donc les véhicules de patrouille des policiers équato-guinéens. Par ailleurs, pendant notre séjour, l’on a remarqué plus de véhicules 4X4 que de ‘’petites voitures’’. Alors qu’il n’y a aucun nid de poule sur le bitume.
