ACCRA — La France veut "participer au développement" économique du Ghana, un modèle démocratique en Afrique qui bénéficie d'une forte croissance, a déclaré samedi le Premier ministre français François Fillon à Accra.
M. Fillon, qui effectue jusqu'à dimanche une mini-tournée en Afrique de l'Ouest placée sous le signe des échanges économiques, a fait une courte étape samedi au Ghana, dont la croissance économique en 2010 (12%) a été la plus forte du continent.
Cette visite dans cette ex-colonie britannique, la première d'un haut-dirigeant français, marque la "volonté de la France de participer au développement économique du Ghana", a déclaré M. Fillon lors d'une rencontre au palais présidentiel avec le chef de l'Etat John Atta Mills.
Elu démocratiquement en 2008 et candidat à sa réélection en 2012, M. Atta Mills a de son côté déclaré que son pays avait "choisi la démocratie qui est le seul moyen d'atteindre la paix et le développement économique".
Selon M. Fillon, "la France a décidé de réorienter radicalement sa politique en Afrique" en ne privilégiant plus la seule Afrique francophone.
Le Ghana figure ainsi parmi les pays prioritaires de l'Agence française de développement (AFD) pour densifier les échanges franco-africains.
Le secrétaire d'Etat au Commerce extérieur, Pierre Lellouche, qui accompagne le Premier ministre avec plusieurs chefs d'entreprises français, devait en parallèle participer à un Forum économique à Accra pour affirmer la présence française au Ghana.
"Beaucoup d'entreprises françaises veulent s'implanter au Ghana", a confirmé M. Fillon lors de sa rencontre avec le dirigeant ghanéen.
Au cours de cette visite, trois conventions de financement de l'AFD, dont un programme de développement urbain, ont été signées pour un montant d'environ 50 millions d'euros.
François Fillon, qui s'est auparavant rendu en Côte d'Ivoire et est attendu dimanche au Gabon, a également rendu hommage à l'implication sur la scène internationale du Ghana, un "grand contributeur aux forces de maintien de la paix" en Afrique.
M. Fillon, qui effectue jusqu'à dimanche une mini-tournée en Afrique de l'Ouest placée sous le signe des échanges économiques, a fait une courte étape samedi au Ghana, dont la croissance économique en 2010 (12%) a été la plus forte du continent.
Cette visite dans cette ex-colonie britannique, la première d'un haut-dirigeant français, marque la "volonté de la France de participer au développement économique du Ghana", a déclaré M. Fillon lors d'une rencontre au palais présidentiel avec le chef de l'Etat John Atta Mills.
Elu démocratiquement en 2008 et candidat à sa réélection en 2012, M. Atta Mills a de son côté déclaré que son pays avait "choisi la démocratie qui est le seul moyen d'atteindre la paix et le développement économique".
Selon M. Fillon, "la France a décidé de réorienter radicalement sa politique en Afrique" en ne privilégiant plus la seule Afrique francophone.
Le Ghana figure ainsi parmi les pays prioritaires de l'Agence française de développement (AFD) pour densifier les échanges franco-africains.
Le secrétaire d'Etat au Commerce extérieur, Pierre Lellouche, qui accompagne le Premier ministre avec plusieurs chefs d'entreprises français, devait en parallèle participer à un Forum économique à Accra pour affirmer la présence française au Ghana.
"Beaucoup d'entreprises françaises veulent s'implanter au Ghana", a confirmé M. Fillon lors de sa rencontre avec le dirigeant ghanéen.
Au cours de cette visite, trois conventions de financement de l'AFD, dont un programme de développement urbain, ont été signées pour un montant d'environ 50 millions d'euros.
François Fillon, qui s'est auparavant rendu en Côte d'Ivoire et est attendu dimanche au Gabon, a également rendu hommage à l'implication sur la scène internationale du Ghana, un "grand contributeur aux forces de maintien de la paix" en Afrique.