Le ministre René Diby, membre de la Commission électorale indépendante de la Fif estime que l’Ambassadeur Jacques Bernard Anouma, le président sortant, doit être reconduit à la tête du foot ivoirien.
Quelque temps après l’installation de la Commission électorale indépendante qui a la charge de conduire le scrutin présidentiel de la Fédération ivoirienne de Football-Fif- le 10 septembre prochain, l’une des figures de proue du sport ivoirien, le pharmacien René Diby a fait mention de sa volonté de voir encore Jacques Anouma à la tête de ladite Fédération. Pour le ministre vainqueur de la Coupe d’Afrique Sénégal 92, en plus d’une ribambelle d’œuvres titanesques dont Anouma est l’auteur à la Fif, «il a fait en sorte que la Côte d’Ivoire a participé à la Coupe du Monde à deux reprises. Même s’il n’a pas encore gagné de Coupe d’Afrique des Nations, il a fait en sorte qu’aujourd’hui la Côte d’Ivoire est le premier pays africain au niveau du football et 14e au plan mondial». Pour le natif de Dabou, eu égard à l’excellent travail que Roger Ouégnin, le Pca de l’Asec et Anouma font depuis leur accession à la présidence respectivement de l’Asec et de la Fif, on ne peut que faire leur éloge. «Il faut être réaliste. Il y a deux personnes dans le monde du foot en Côte d’Ivoire qui seront très difficile à remplacer : Me Roger Ouégnin et le président Anouma. Quand je vois tout le travail que Ouégnin a abattu à Sol Bénit, je ne peux que l’admirer. Si vous héritez d’un tel héritage, il vous sera difficile de continuer. Même si on n’aime pas le lièvre, il faut reconnaître qu’il court vite. C’est le cas également pour Jacques Anouma qui a restructuré la Fif. Même s’il n’a pas remporté de Can, il a fait beaucoup de choses positives», a poursuivi René Diby. Avant de confier que Anouma «a repositionné le football ivoirien dans le monde. Il sera donc difficile de le remplacer. Il faut reconnaître les qualités de cet homme. Avec lui, les clubs reçoivent maintenant des millions pendant qu’avant ils ne recevaient rien. Sa position sociale lui a permis d’avoir des relations faciles avec les sponsors …»
Eugène Djabia
Quelque temps après l’installation de la Commission électorale indépendante qui a la charge de conduire le scrutin présidentiel de la Fédération ivoirienne de Football-Fif- le 10 septembre prochain, l’une des figures de proue du sport ivoirien, le pharmacien René Diby a fait mention de sa volonté de voir encore Jacques Anouma à la tête de ladite Fédération. Pour le ministre vainqueur de la Coupe d’Afrique Sénégal 92, en plus d’une ribambelle d’œuvres titanesques dont Anouma est l’auteur à la Fif, «il a fait en sorte que la Côte d’Ivoire a participé à la Coupe du Monde à deux reprises. Même s’il n’a pas encore gagné de Coupe d’Afrique des Nations, il a fait en sorte qu’aujourd’hui la Côte d’Ivoire est le premier pays africain au niveau du football et 14e au plan mondial». Pour le natif de Dabou, eu égard à l’excellent travail que Roger Ouégnin, le Pca de l’Asec et Anouma font depuis leur accession à la présidence respectivement de l’Asec et de la Fif, on ne peut que faire leur éloge. «Il faut être réaliste. Il y a deux personnes dans le monde du foot en Côte d’Ivoire qui seront très difficile à remplacer : Me Roger Ouégnin et le président Anouma. Quand je vois tout le travail que Ouégnin a abattu à Sol Bénit, je ne peux que l’admirer. Si vous héritez d’un tel héritage, il vous sera difficile de continuer. Même si on n’aime pas le lièvre, il faut reconnaître qu’il court vite. C’est le cas également pour Jacques Anouma qui a restructuré la Fif. Même s’il n’a pas remporté de Can, il a fait beaucoup de choses positives», a poursuivi René Diby. Avant de confier que Anouma «a repositionné le football ivoirien dans le monde. Il sera donc difficile de le remplacer. Il faut reconnaître les qualités de cet homme. Avec lui, les clubs reçoivent maintenant des millions pendant qu’avant ils ne recevaient rien. Sa position sociale lui a permis d’avoir des relations faciles avec les sponsors …»
Eugène Djabia
