L’atelier organisé par l’Association des écrivains de Côte d’Ivoire (Aeci) le 4 juin dernier a livré ses secrets. Après avoir dépeint les causes et les conséquences de la crise post-électorale, les écrivains ivoiriens ont appelé, comme l’a fait Senghor, à « s’enrichir de nos différences ». Car, pensent-ils, la multiplicité communautaire et idéologique doit être perçue comme une richesse.
Coulisses Publié le mardi 19 juillet 2011 | Nord-Sud