«Nous avons fait le constat de comprendre les procédures judiciaires en matière militaire. Nous avons apprécié les efforts de réformes et aussi la célérité avec laquelle le dossier est en cours, notamment la manière dont les événements post-crise étaient en train d’être traités. Nous avons insisté à ce que tous ces dossiers soient mieux traités. Dans le processus de réconciliation, il est important que la justice intervienne en amont dès le départ pour que véritablement on puisse apprécier l’ampleur des dégâts de toute nature et que la réconciliation puisse se faire. Enfin nous avons donné des assurances au Commissaire Ange Kessy que nous ferons tout possible pour que les moyens soient dégagés et que l’Institution soit modernisée. J’ai fait le constat qu’il travaille dans des conditions difficiles et surtout, qu’il travaille en harmonie avec la justice civile. Quand le même dossier est traité à la fois par les
deux juridictions, ça nous donne parfois le sentiment qu’il y a une cacophonie. Avec le ministre d’Etat, ministre de la Justice, nous avons réglé ce problème pour que dorénavant, il n’y ait plus une justice à deux vitesses’».
Retranscris par DV
deux juridictions, ça nous donne parfois le sentiment qu’il y a une cacophonie. Avec le ministre d’Etat, ministre de la Justice, nous avons réglé ce problème pour que dorénavant, il n’y ait plus une justice à deux vitesses’».
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