Après Abidjan et plusieurs villes de l’intérieur du pays, le Programme national de réhabilitation et de réinsertion communautaire (Pnrrc) était, hier, au 3ème bataillon militaire de Bouaké. Il y a procédé aux opérations de revue des effectifs des Forces républicaines (Frci) et de profilage des jeunes associés.
A l’étape de Bouaké, sont attendus 212 éléments des Frci. Sur place, une équipe du Pnrrc se charge de prendre les données alphanumériques (profil socio-économique et aspiration) et biométriques (empreinte digitale et photo). Ces deux étapes franchies, un récépissé est remis à chacun des éléments identifiés. Selon Mme Adayé du service de communication du Pnrrc, à la fin de l’opération, un croisement se fera pour distinguer des éléments de l’armée nouvelle (Ean) à mettre à la disposition de l’état-major tactique. Le reste, les jeunes associés, sera placé sous la tutelle du Pnrrc. Il se chargera à son tour de leur trouver des projets de vie. Ce, dans le cadre de leur réinsertion sociale. L’objectif visé, c’est d’une part d’identifier et de recenser toutes les forces combattantes sur le territoire national (Frci, jeunes associés, ex-miliciens) ; orienter les 9000 éléments reconnus par l’Accord politique de Ouagadougou vers l’état-major tactique pour leur encasernement. Et d’autre part, il s’agit de démobiliser ou démanteler tous les éléments associés aux Frci et les ex-miliciens ; réinsérer socialement et réintégrer économiquement les ex-combattants démobilisés et les individus associés au
conflit. Selon les services du Pnrrc, les cibles concernées sont des ex-combattants (hommes et femmes) recrutés après le 19 septembre 2002 et démobilisés, les individus de 18 à 40 ans ayant appartenu à des groupes d’auto-défense et les jeunes désœuvrés n’ayant pas participé activement au conflit et qui résident dans les communautés d’accueil ; les groupes spéciaux (ex-combattants handicapés de guerre, veuves, veufs et orphelins de guerre, les femmes victimes de violence de tout genre, les ex-combattants de plus de 40 ans) ; les communautés d’accueil des ex-combattants et tous les jeunes qui, à la faveur de la crise post-électorale, se sont associés aux Frci et les ex-miliciens proches de l’ancien chef de l’Etat et qui ont accepté de déposer volontairement les armes. Après l’étape de Bouaké, l’équipe du Pnrrc était à Yamoussoukro où elle a identifié 325 éléments des Frci.
Denis Koné à Bouaké
A l’étape de Bouaké, sont attendus 212 éléments des Frci. Sur place, une équipe du Pnrrc se charge de prendre les données alphanumériques (profil socio-économique et aspiration) et biométriques (empreinte digitale et photo). Ces deux étapes franchies, un récépissé est remis à chacun des éléments identifiés. Selon Mme Adayé du service de communication du Pnrrc, à la fin de l’opération, un croisement se fera pour distinguer des éléments de l’armée nouvelle (Ean) à mettre à la disposition de l’état-major tactique. Le reste, les jeunes associés, sera placé sous la tutelle du Pnrrc. Il se chargera à son tour de leur trouver des projets de vie. Ce, dans le cadre de leur réinsertion sociale. L’objectif visé, c’est d’une part d’identifier et de recenser toutes les forces combattantes sur le territoire national (Frci, jeunes associés, ex-miliciens) ; orienter les 9000 éléments reconnus par l’Accord politique de Ouagadougou vers l’état-major tactique pour leur encasernement. Et d’autre part, il s’agit de démobiliser ou démanteler tous les éléments associés aux Frci et les ex-miliciens ; réinsérer socialement et réintégrer économiquement les ex-combattants démobilisés et les individus associés au
conflit. Selon les services du Pnrrc, les cibles concernées sont des ex-combattants (hommes et femmes) recrutés après le 19 septembre 2002 et démobilisés, les individus de 18 à 40 ans ayant appartenu à des groupes d’auto-défense et les jeunes désœuvrés n’ayant pas participé activement au conflit et qui résident dans les communautés d’accueil ; les groupes spéciaux (ex-combattants handicapés de guerre, veuves, veufs et orphelins de guerre, les femmes victimes de violence de tout genre, les ex-combattants de plus de 40 ans) ; les communautés d’accueil des ex-combattants et tous les jeunes qui, à la faveur de la crise post-électorale, se sont associés aux Frci et les ex-miliciens proches de l’ancien chef de l’Etat et qui ont accepté de déposer volontairement les armes. Après l’étape de Bouaké, l’équipe du Pnrrc était à Yamoussoukro où elle a identifié 325 éléments des Frci.
Denis Koné à Bouaké