La course à la présidence de la Fif prend des couleurs. Salif Bictogo parti pour être le candidat de la Conférence des présidents devrait être face à Eugène Diomandé. D’autres candidats ne sont plus loin de sortir de l’ombre.
La voie est dégagée. L’énorme candidat que devait être Jacques Anouma à la course à la présidence de la Fédération ivoirienne de football ne l’est plus. De nouvelles envies sont nées. De part et d’autre. De source bien introduite, Salif Bictogo, le président de la Conférence des présidents, est candidat à la succession du président sortant. Il est le choix de la conférence des présidents. Si c’est vraiment le cas, les dirigeants de clubs restent ainsi arcboutés sur leur position. Ils revendiquent une totale autonomie pour cette élection comme l’exige la FIFA. Ils refusent toute immixtion politique ou « main étrangère » dans leur affaire. Bictogo serait le candidat de la continuité. S’il est confirmé le 28 juillet comme tel, on en saura davantage sur ce « cheval ». D’autres candidatures fourmillent au sein des présidents de clubs. Celles d’Eugène Marie Diomandé et de Georges Ezaley. Resté longtemps à « épiller » la position d’Anouma, Eugène Marie Diomandé veut sortir de l’ombre. Le président du Séwé de San Pedro estime, sans doute, qu’il a maintenant les coudées franches pour briguer le poste de président de la Fif. Lui qui n’a jamais caché cette envie. Au moment où la candidature de Sidi Diallo fait des vagues, une autre se fait entendre. Sans doute un joker. Celle de Georges Ezaley. Le président de l’Usc Bassam est intéressé par la maison fédérale, dit-on. Il pourrait, dans les jours à venir, faire acte de candidature. On le voit, la bataille à la présidence de la FIF est engagée. Et la liste des prétendants reste un mystère. En tout cas, pour l’heure.
Moïse N’guessan
Lég : Candidat à la présidence de la Fif, Salif Bictogo, devrait être face à Eugène Diomandé.
La voie est dégagée. L’énorme candidat que devait être Jacques Anouma à la course à la présidence de la Fédération ivoirienne de football ne l’est plus. De nouvelles envies sont nées. De part et d’autre. De source bien introduite, Salif Bictogo, le président de la Conférence des présidents, est candidat à la succession du président sortant. Il est le choix de la conférence des présidents. Si c’est vraiment le cas, les dirigeants de clubs restent ainsi arcboutés sur leur position. Ils revendiquent une totale autonomie pour cette élection comme l’exige la FIFA. Ils refusent toute immixtion politique ou « main étrangère » dans leur affaire. Bictogo serait le candidat de la continuité. S’il est confirmé le 28 juillet comme tel, on en saura davantage sur ce « cheval ». D’autres candidatures fourmillent au sein des présidents de clubs. Celles d’Eugène Marie Diomandé et de Georges Ezaley. Resté longtemps à « épiller » la position d’Anouma, Eugène Marie Diomandé veut sortir de l’ombre. Le président du Séwé de San Pedro estime, sans doute, qu’il a maintenant les coudées franches pour briguer le poste de président de la Fif. Lui qui n’a jamais caché cette envie. Au moment où la candidature de Sidi Diallo fait des vagues, une autre se fait entendre. Sans doute un joker. Celle de Georges Ezaley. Le président de l’Usc Bassam est intéressé par la maison fédérale, dit-on. Il pourrait, dans les jours à venir, faire acte de candidature. On le voit, la bataille à la présidence de la FIF est engagée. Et la liste des prétendants reste un mystère. En tout cas, pour l’heure.
Moïse N’guessan
Lég : Candidat à la présidence de la Fif, Salif Bictogo, devrait être face à Eugène Diomandé.