La grande famille des lutteurs ivoiriens se tourne les pouces et grogne. Cela fait exactement un an et 3 longs mois que le mandat du président de la Fédération (élu le 22 avril 2006), Aïdara Siembané, a pris fin. Pis, la dernière compétition officielle de cette Fédération remonte à l’âge de la pierre taillée, mais le ministère des Sports ne réagit toujours pas. Qui protège Siembané ? Veut-on « tuer » la lutte ivoirienne ? Des questions, encore des questions… Le Comité ad hoc installé en son temps tarde à combler les lutteurs. Les 16 clubs agréés par la Fédération ivoirienne de lutte attendent impatiemment la prochaine assemblée générale afin de se doter d’un nouveau président plus dynamique et surtout plus ambitieux. Le ministre des Sports et Loisirs, Philippe Légré, est une fois encore interpellé pour mettre fin à la cacophonie à la Fédération ivoirienne de lutte.
G.F.Y.
G.F.Y.