Sans avoir pour l’instant élevé le ton, les membres de la plateforme pour la recherche de la paix et la cohésion sociale basée à Man sont à la recherche de la formule idoine pour crier leur indignation contre le président de la Commission Dialogue, Vérité et Réconciliation.
Selon une source proche de cette organisation non gouvernementale basée à l’ouest de la Côte d’Ivoire, l’inertie de la Commission Dialogue, Vérité et Réconciliation est inquiétante à plus d’un titre. Mis en place par le Président de la République, Alassane Ouattara, cette commission est sensée entendre les victimes et accusés dans la crise postélectorale qui a secoué le pays après le refus de Laurent Gbagbo, ex-Président de reconnaître la victoire de son rival arrivé du Fmi.
La plateforme pour la recherche de la paix est la première organisation non gouvernementale ivoirienne à s’être rendue dans les localités conquises par les forces républicaines pour apporter assistance aux populations civiles.
Dans ce cadre, elle a participé à la sensibilisation des populations guéré, baoulés, malinké et allochtones burkinabè et maliennes pour le vivre ensemble et au pardon mutuel.
Les localités de Zouan-hounien, Bloléquin, Toulepleu, Guiglo ont ainsi accueilli la plateforme pour la recherche de la paix et la cohésion sociale.
C’est pourquoi selon notre source, la plateforme ne comprend pas le mutisme du président de la commission Dialogue, Vérité et Réconciliation à son égard. Pour eux, M.Banny et ses collaborateurs ont affirmé mener des consultations avant le travail effectif. Pourtant, à l’exception de la chefferie bété qui a elle-même sollicité sa rencontre, M.Banny ne multiplie que des opérations de charme sans impact réel sur le terrain. Pour des membres de la plateforme, les consultations ne devraient pas se passer avec des groupes qui n’ont pas souventes fois été des victimes comme celles de l’ouest ou dans certains quartiers d’Abidjan.
Selon notre source, « cela frise le dédain, toute chose qui ne manque pas de nous choquer tant nous avons espérer que le Président de la Commission (Dialogue, Vérité et Réconciliation) allait joindre tous ceux qui ont travaillé sur le terrain pour bénéficier de leur rapport et apport mais pour l’instant Charles Konan Banny nous laisse sur notre faim ».
La plateforme pour la recherche de la paix et la cohésion sociale a organisée dès les premiers jours après la cessation des hostilités à Duékoué une rencontre à la salle de réunion sise à la radio « la voix du Guémon ». A cette rencontre à laquelle ont participé le chef de canton Bah Tahi et le 1er adjoint au maire, Paul Mondouho, des vérités crues et dures ont été dites sur la responsabilité passive et souvent active du chef de canton aujourd’hui membre de la plateforme.
Ce jour-là, le pardon et la réconciliation nationale ont été au cœur des discours et de l’appel de Me Fofana Inza, le président de cette plateforme. Les semaines écoulées, une marche des communautés a été organisée dans les rues de Duékoué pour sceller la paix retrouvée entre les acteurs du développement de Duékoué, ville théâtre de violents affrontements entre le mercenaires et miliciens pro-Gbagbo et les Frci mais aussi entre populations civiles sur fond de règlement de compte sur des questions de terre.
Pour les acteurs de la plateforme, ils ont dans une certaine mesure une connaissance accrue de l’important dossier de l’ouest qui aura une place de choix dans le travail de la Commission de M.Banny.
La plateforme condamne ce qu’elle qualifie d’exutoire quant à des zones d’ombre qui existeraient dans le décret signé. Selon notre interlocuteur, le Président Alassane Ouattara a déjà donné les orientations de cette commission qui devra suivre le modèle sud-africain tout en se forgeant une identité autonome.
La plateforme pour la recherche de la paix qui entend jouer sa partition dans le retour définitif de la paix dans notre pays a permis le retour de plus de 20 mille refugiés du Libéria sans anicroche avec des dozos ou des éléments des forces républicaines.
Elle qualifie de contrevérités le dernier rapport d’Amnesty International et se promet dans les jours prochains de donner une réponse adéquate à Gaëtan Moutou, ses complices et ses commanditaires.
Selon une source proche de cette organisation non gouvernementale basée à l’ouest de la Côte d’Ivoire, l’inertie de la Commission Dialogue, Vérité et Réconciliation est inquiétante à plus d’un titre. Mis en place par le Président de la République, Alassane Ouattara, cette commission est sensée entendre les victimes et accusés dans la crise postélectorale qui a secoué le pays après le refus de Laurent Gbagbo, ex-Président de reconnaître la victoire de son rival arrivé du Fmi.
La plateforme pour la recherche de la paix est la première organisation non gouvernementale ivoirienne à s’être rendue dans les localités conquises par les forces républicaines pour apporter assistance aux populations civiles.
Dans ce cadre, elle a participé à la sensibilisation des populations guéré, baoulés, malinké et allochtones burkinabè et maliennes pour le vivre ensemble et au pardon mutuel.
Les localités de Zouan-hounien, Bloléquin, Toulepleu, Guiglo ont ainsi accueilli la plateforme pour la recherche de la paix et la cohésion sociale.
C’est pourquoi selon notre source, la plateforme ne comprend pas le mutisme du président de la commission Dialogue, Vérité et Réconciliation à son égard. Pour eux, M.Banny et ses collaborateurs ont affirmé mener des consultations avant le travail effectif. Pourtant, à l’exception de la chefferie bété qui a elle-même sollicité sa rencontre, M.Banny ne multiplie que des opérations de charme sans impact réel sur le terrain. Pour des membres de la plateforme, les consultations ne devraient pas se passer avec des groupes qui n’ont pas souventes fois été des victimes comme celles de l’ouest ou dans certains quartiers d’Abidjan.
Selon notre source, « cela frise le dédain, toute chose qui ne manque pas de nous choquer tant nous avons espérer que le Président de la Commission (Dialogue, Vérité et Réconciliation) allait joindre tous ceux qui ont travaillé sur le terrain pour bénéficier de leur rapport et apport mais pour l’instant Charles Konan Banny nous laisse sur notre faim ».
La plateforme pour la recherche de la paix et la cohésion sociale a organisée dès les premiers jours après la cessation des hostilités à Duékoué une rencontre à la salle de réunion sise à la radio « la voix du Guémon ». A cette rencontre à laquelle ont participé le chef de canton Bah Tahi et le 1er adjoint au maire, Paul Mondouho, des vérités crues et dures ont été dites sur la responsabilité passive et souvent active du chef de canton aujourd’hui membre de la plateforme.
Ce jour-là, le pardon et la réconciliation nationale ont été au cœur des discours et de l’appel de Me Fofana Inza, le président de cette plateforme. Les semaines écoulées, une marche des communautés a été organisée dans les rues de Duékoué pour sceller la paix retrouvée entre les acteurs du développement de Duékoué, ville théâtre de violents affrontements entre le mercenaires et miliciens pro-Gbagbo et les Frci mais aussi entre populations civiles sur fond de règlement de compte sur des questions de terre.
Pour les acteurs de la plateforme, ils ont dans une certaine mesure une connaissance accrue de l’important dossier de l’ouest qui aura une place de choix dans le travail de la Commission de M.Banny.
La plateforme condamne ce qu’elle qualifie d’exutoire quant à des zones d’ombre qui existeraient dans le décret signé. Selon notre interlocuteur, le Président Alassane Ouattara a déjà donné les orientations de cette commission qui devra suivre le modèle sud-africain tout en se forgeant une identité autonome.
La plateforme pour la recherche de la paix qui entend jouer sa partition dans le retour définitif de la paix dans notre pays a permis le retour de plus de 20 mille refugiés du Libéria sans anicroche avec des dozos ou des éléments des forces républicaines.
Elle qualifie de contrevérités le dernier rapport d’Amnesty International et se promet dans les jours prochains de donner une réponse adéquate à Gaëtan Moutou, ses complices et ses commanditaires.