La Francophonie va soutenir la reconstruction de la Côte d’Ivoire, éprouvée par une sanglante crise postélectorale qui a duré jusqu’en avril, a annoncé jeudi à Abidjan son secrétaire général Abdou Diouf.
"Nous mettons la Côte d’Ivoire en haut de notre agenda et nous ferons tout ce qui est en notre pouvoir pour vous aider dans la gestion de cette situation post-crise", a déclaré M. Diouf à l’issue d’un entretien avec le président ivoirien Alassane Ouattara.
Le chef de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF) a souligné que cet appui toucherait "la reconstruction, la réconciliation, la justice, la sécurité, la culture et l’éducation".
"La Francophonie sera fortement à vos côtés. Nous avons tous souffert (...) pendant cette période douloureuse que votre pays a traversée", a dit M. Diouf.
Le président Ouattara a salué les prises de position de la Francophonie durant la crise.
"Vous avez toujours exposé un point de vue en faveur du respect des résultats et du vote des populations. La Côte d’ivoire vous est reconnaissante.
Vous avez toujours été à nos côtés", a-t-il lancé à son hôte.
La crise née du refus de Laurent Gbagbo de reconnaître sa défaite à la présidentielle de novembre 2010, a fait au moins 3.000 morts et s’est conclue par l’arrestation de l’ex-chef d’Etat le 11 avril, à l’issue de deux semaines de guerre.
"Nous mettons la Côte d’Ivoire en haut de notre agenda et nous ferons tout ce qui est en notre pouvoir pour vous aider dans la gestion de cette situation post-crise", a déclaré M. Diouf à l’issue d’un entretien avec le président ivoirien Alassane Ouattara.
Le chef de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF) a souligné que cet appui toucherait "la reconstruction, la réconciliation, la justice, la sécurité, la culture et l’éducation".
"La Francophonie sera fortement à vos côtés. Nous avons tous souffert (...) pendant cette période douloureuse que votre pays a traversée", a dit M. Diouf.
Le président Ouattara a salué les prises de position de la Francophonie durant la crise.
"Vous avez toujours exposé un point de vue en faveur du respect des résultats et du vote des populations. La Côte d’ivoire vous est reconnaissante.
Vous avez toujours été à nos côtés", a-t-il lancé à son hôte.
La crise née du refus de Laurent Gbagbo de reconnaître sa défaite à la présidentielle de novembre 2010, a fait au moins 3.000 morts et s’est conclue par l’arrestation de l’ex-chef d’Etat le 11 avril, à l’issue de deux semaines de guerre.
