Les Ivoiriens ont célébré ce dimanche 7 août, avec sobriété et très peu d’enthousiasme, le 51ème anniversaire de l’accession de leur pays à l’indépendance.
Le tragique accident de circulation qui a eu lieu le vendredi 5 août dans la capitale économique ivoirienne et qui a endeuillé de nombreuses familles a déteint cette fête nationale qui d’ordinaire suscite ferveur et dévotion.
Le parvis du Palais de la Présidence de la République, dans le quartier des affaires du Plateau, à Abidjan n’a pas enregistré un grand monde.
La cérémonie officielle de commémoration de l’indépendance n’aura seulement duré que deux heures d’horloges, de 10 heures à 12 heures.
Après une brève prestation de fanfare exécutée par la Garde républicaine, le Président de la République, Alassane Ouattara, passe en revue les troupes qui lui rendent les honneurs militaires, sans délivrer de discours.
Il s’est largement exprimé sur les antennes de la télévision et de la radio nationales, la veille de cet évènement, le samedi 6 Août.
Le Président Ouattara a appelé ses compatriotes à avoir une pensée pieuse pour les personnes qui ont perdu la vie dans l’accident de circulation tragique du 5 août.
Le reste dudit discours s’est articulé autour de trois points principaux : l’appel aux Ivoiriens militaires et civils réfugiés dans les pays voisins à regagner la Côte d’Ivoire, la nécessité de se donner la main pour donner une chance à la réconciliation et l’espoir en la reprise économique et au repositionnement de la Côte d’Ivoire sur l’échiquier internationale.
Par ailleurs la célébration a été marquée par la décoration de certains Ivoiriens et Ivoiriennes, militaires, diplomates et civils.
Les Ivoiriens qui ont souffert de la crise postélectorale qui a duré cinq mois et qui voulaient, dans l’allégresse, manifester le retour à la paix, lors de ce 51ème anniversaire de l’accession de leur pays à la souveraineté nationale, viennent de connaître un autre choc dont ils porteront encore le deuil.
Le tragique accident de circulation qui a eu lieu le vendredi 5 août dans la capitale économique ivoirienne et qui a endeuillé de nombreuses familles a déteint cette fête nationale qui d’ordinaire suscite ferveur et dévotion.
Le parvis du Palais de la Présidence de la République, dans le quartier des affaires du Plateau, à Abidjan n’a pas enregistré un grand monde.
La cérémonie officielle de commémoration de l’indépendance n’aura seulement duré que deux heures d’horloges, de 10 heures à 12 heures.
Après une brève prestation de fanfare exécutée par la Garde républicaine, le Président de la République, Alassane Ouattara, passe en revue les troupes qui lui rendent les honneurs militaires, sans délivrer de discours.
Il s’est largement exprimé sur les antennes de la télévision et de la radio nationales, la veille de cet évènement, le samedi 6 Août.
Le Président Ouattara a appelé ses compatriotes à avoir une pensée pieuse pour les personnes qui ont perdu la vie dans l’accident de circulation tragique du 5 août.
Le reste dudit discours s’est articulé autour de trois points principaux : l’appel aux Ivoiriens militaires et civils réfugiés dans les pays voisins à regagner la Côte d’Ivoire, la nécessité de se donner la main pour donner une chance à la réconciliation et l’espoir en la reprise économique et au repositionnement de la Côte d’Ivoire sur l’échiquier internationale.
Par ailleurs la célébration a été marquée par la décoration de certains Ivoiriens et Ivoiriennes, militaires, diplomates et civils.
Les Ivoiriens qui ont souffert de la crise postélectorale qui a duré cinq mois et qui voulaient, dans l’allégresse, manifester le retour à la paix, lors de ce 51ème anniversaire de l’accession de leur pays à la souveraineté nationale, viennent de connaître un autre choc dont ils porteront encore le deuil.