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Société Publié le mardi 16 août 2011 | Le Patriote

Motus : Preuves

Les Ivoiriens ont certainement donné raison à tous ceux qui quittent en ce moment, les rangs du Front Populaire Ivoirien et de sa vague refondation, en lisant ce gros mensonge à la Une d’un des relais de l’ancien régime, en manque d’inspiration : « 5 mois après Gbagbo, 80000 travailleurs à la rue ». En plein dans la mauvaise foi, l’organe du FPI, s’il dit vraiment la vérité, veut faire endosser sa « réalité » au nouveau pouvoir ivoirien. De prime abord, en regardant la Côte d’Ivoire qui bouge sous Ouattara et son gouvernement, on voit bien au contraire des Ivoiriens au travail, avec une floraison de métiers liés aux objectifs de propriété et d’embellissement de notre capitale économique. En circulant dans Abidjan, on voit bien des concitoyens au travail et heureux de gagner leur pain à la sueur du front. Visiblement donc, le procureur avide de virulents réquisitoires, est passé à côté de la plaque. A l’analyse du discours, on ne peut pas dire que le relais du FPI aime bien Laurent Gbagbo, pour le clouer ainsi au pilori. De sa résidence surveillée, le Seplou doit être vraiment amer et désabusé. Le crocodile sorti de ses entrailles est venu le mordre. On ne pouvait pas trouver meilleur exemple d’euthanasie. En effet, les esprits lucides ont bien compris que les cinq mois dont parle le journal du FPI coïncident exactement avec la crise postélectorale, créée par Gbagbo, dans son refus d’accepter le verdict des urnes, donc la victoire électorale du Président Alassane Ouattara. Avec l’appui de ses sicaires et gardes chiourmes, il a mis le pays à feu et à sang. Provoquant du coup la délocalisation voire la fermeture de nombreuses entreprises qui embauchaient nombre d’Ivoiriens. Le fait est d’autant probant que les chefs d’entreprises n’ont pas manqué de demander des dédommagements auxquels l’Etat s’attèle à donner forme et droit. Si des emplois ont été perdus, cela est bel et bien le fait de Laurent Gbagbo qui voulait conduire le pays à la banqueroute et au chaos. C’est donc 80.000 personnes supplémentaires qui viendront porter plainte contre Laurent Gbagbo, pour les avoir jetés à la rue. On ne pouvait pas trouver meilleur témoignage que cette officine de la refondation. La justice a une nouvelle pièce à son dossier
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