Tabou – Une trentaine de localités de la région du Bas-Sassandra va bénéficier, dans le cadre du développement local, du programme de décentralisation et de participation territoriale pour un nouveau développement en Côte d’Ivoire, dénommé « Départ », initié par le Conseil danois pour les réfugiés.
Les bénéficiaires de ce programme sont les autorités locales, les populations autochtones, les populations allogènes et tout ce qui vivent dans le département de Tabou.
Ce programme, selon le superviseur pour la région du Bas-Sassandra du « Départ », Honoré Kouadio, vise, dans un premier volet, à travers, des formations, à renforcer les capacités institutionnelles et organisationnelles des autorités et des communautés. Ce, « afin que ces deux entités collaborent dans le cadre des prises de décisions dans la gestion des choses publiques et de l’élaboration des programmes de développement », a-t-il souligné.
Dans un second volet, ajoute M. Kouadio, le programme va permettre la mise en place de microprojets au bénéfice de trente communautés. « Ces microprojets sont laissés à l’appréciation des populations elles-mêmes qui vont établir leurs besoins qui peuvent concerner les équipements sociaux, le désenclavement de certaines localités ou des activités génératrices de revenu », a expliqué le superviseur pour la région du Bas-Sassandra de « Départ ».
Le programme « Départ » a été laissé par le Conseil danois pour les réfugiés le 1er janvier 2010 pour une durée de 30 mois et prend fin en juin 2012. Il est financé par l`Union européenne (UE) et réalisé sur le terrain en partenariat avec la Ligue ivoirienne des droits de l`Homme (LIDHO).
Les bénéficiaires de ce programme sont les autorités locales, les populations autochtones, les populations allogènes et tout ce qui vivent dans le département de Tabou.
Ce programme, selon le superviseur pour la région du Bas-Sassandra du « Départ », Honoré Kouadio, vise, dans un premier volet, à travers, des formations, à renforcer les capacités institutionnelles et organisationnelles des autorités et des communautés. Ce, « afin que ces deux entités collaborent dans le cadre des prises de décisions dans la gestion des choses publiques et de l’élaboration des programmes de développement », a-t-il souligné.
Dans un second volet, ajoute M. Kouadio, le programme va permettre la mise en place de microprojets au bénéfice de trente communautés. « Ces microprojets sont laissés à l’appréciation des populations elles-mêmes qui vont établir leurs besoins qui peuvent concerner les équipements sociaux, le désenclavement de certaines localités ou des activités génératrices de revenu », a expliqué le superviseur pour la région du Bas-Sassandra de « Départ ».
Le programme « Départ » a été laissé par le Conseil danois pour les réfugiés le 1er janvier 2010 pour une durée de 30 mois et prend fin en juin 2012. Il est financé par l`Union européenne (UE) et réalisé sur le terrain en partenariat avec la Ligue ivoirienne des droits de l`Homme (LIDHO).