Abidjan, La Société linguistique de l’Afrique de l’ouest (SLAO) tient de lundi à samedi à Abidjan, son 27ème congrès ordinaire sur le thème ‘’Typologie et documentation des langues africaines’’, en vue notamment de prévenir l’extinction des langues africaines.
La rencontre internationale qui enregistre la participation de 140 experts venus principalement d’Afrique, d’Europe et d’Amérique, vise à détecter les secrets des langues encore existantes, sur les plans phonologique, phonétique, morphologique et syntaxique, entre autres.
A la cérémonie d'ouverture, le président du comité d’organisation, Pr Kouadio Jérémie a fait savoir qu’il s’agit également de faire des langues africaines des moyens de développement.
Auparavant, le président de la SLAO, Ben Elugbe avait appelé les politiques africains à comprendre que la recherche sur les langues locales peut être un ciment de paix et de cohésion entre Etats et au sein des pays en crise, comme la Côte d’Ivoire.
Quant au représentant du ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Alexis Ibo, il s’est réjoui de l’opportunité de l’organisation du congrès en Côte d’Ivoire, au moment où elle engage les chantiers de la réconciliation nationale.
(AIP)
La rencontre internationale qui enregistre la participation de 140 experts venus principalement d’Afrique, d’Europe et d’Amérique, vise à détecter les secrets des langues encore existantes, sur les plans phonologique, phonétique, morphologique et syntaxique, entre autres.
A la cérémonie d'ouverture, le président du comité d’organisation, Pr Kouadio Jérémie a fait savoir qu’il s’agit également de faire des langues africaines des moyens de développement.
Auparavant, le président de la SLAO, Ben Elugbe avait appelé les politiques africains à comprendre que la recherche sur les langues locales peut être un ciment de paix et de cohésion entre Etats et au sein des pays en crise, comme la Côte d’Ivoire.
Quant au représentant du ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Alexis Ibo, il s’est réjoui de l’opportunité de l’organisation du congrès en Côte d’Ivoire, au moment où elle engage les chantiers de la réconciliation nationale.
(AIP)