Les éléments du groupement tactique 8 (BAE) de Yopougon ont donné une conférence de presse le jeudi 25 août 2011, au sein de ladite commune. Il s’agissait pour le commandant Wattao Junior et ses éléments de présenter leur nouvelle image aux populations.
« Nous demandons pardon aux populations pour notre rôle dans la crise que notre pays a connue. La guerre c’est le désastre et il n’y a pas de vainqueur », ont regretté les désormais Volontaires pour la République et la Paix (VRP), par la voix de leur porte-parole, Djè
Franck. S’ils se sont assigné la mission de se constituer en disciples de la paix, les VPR disent être en contact avec ceux d’entre eux qui ont fui le pays. Aussi les invitent-ils à regagner leur terre natale. « Nous sommes en contact avec eux. Au sein de notre groupement, se trouve une cellule dénommée ACM (Action Civilo-Militaire), chargée de l’accueil et de leur insertion. La guerre est une autre réalité. Au départ, nous étions trente personnes à avoir répondu à la main tendue du Président de la République. Aujourd’hui, nous revendiquons près de huit cents éléments.
Certains pardonnent aussitôt, quand pour d’autres, ça prend du temps », a fait savoir Djè Franck. Qui dit ne pas craindre pour leur avenir. « Les arrestations que vous voyez, sont le fait souvent de personnes ayant commis des actes abominables. Souvent, elles (les arrestations) interviennent pour sécuriser le concerné lui-même », a-t-il avoué avant de réitérer leurs sincères remerciements au Président de la République, au Premier ministre, aux ex-com-zone, ainsi qu’à Bema Fofana et Eugène Djué. Puis d’implorer la clémence du maire Gbamnan Djidan Jean Félicien dont les conseils ne leur ont pas servi. «Lors d’une réunion que nous avons eue avec le maire Gbamnan en date du vendredi 25 mars 2011, il nous avait dit qu’il était contre toute forme de violence. Mais nous ne l’avons pas suivi dans sa vision, au point de faire payer les populations de Yopougon», a déploré Djè Franck. Concernant l’inculpation de Blé Djolo Jean Claude alias Wattao Junior et ses éléments, Djè Franck a dit: «Nous faisons confiance aux autorités judiciaires ». Pour la circonstance, ils étaient accompagnés des éléments FRCI de Yopougon, avec lesquels, l’entente semble au beau fixe.
Dedi A.
« Nous demandons pardon aux populations pour notre rôle dans la crise que notre pays a connue. La guerre c’est le désastre et il n’y a pas de vainqueur », ont regretté les désormais Volontaires pour la République et la Paix (VRP), par la voix de leur porte-parole, Djè
Franck. S’ils se sont assigné la mission de se constituer en disciples de la paix, les VPR disent être en contact avec ceux d’entre eux qui ont fui le pays. Aussi les invitent-ils à regagner leur terre natale. « Nous sommes en contact avec eux. Au sein de notre groupement, se trouve une cellule dénommée ACM (Action Civilo-Militaire), chargée de l’accueil et de leur insertion. La guerre est une autre réalité. Au départ, nous étions trente personnes à avoir répondu à la main tendue du Président de la République. Aujourd’hui, nous revendiquons près de huit cents éléments.
Certains pardonnent aussitôt, quand pour d’autres, ça prend du temps », a fait savoir Djè Franck. Qui dit ne pas craindre pour leur avenir. « Les arrestations que vous voyez, sont le fait souvent de personnes ayant commis des actes abominables. Souvent, elles (les arrestations) interviennent pour sécuriser le concerné lui-même », a-t-il avoué avant de réitérer leurs sincères remerciements au Président de la République, au Premier ministre, aux ex-com-zone, ainsi qu’à Bema Fofana et Eugène Djué. Puis d’implorer la clémence du maire Gbamnan Djidan Jean Félicien dont les conseils ne leur ont pas servi. «Lors d’une réunion que nous avons eue avec le maire Gbamnan en date du vendredi 25 mars 2011, il nous avait dit qu’il était contre toute forme de violence. Mais nous ne l’avons pas suivi dans sa vision, au point de faire payer les populations de Yopougon», a déploré Djè Franck. Concernant l’inculpation de Blé Djolo Jean Claude alias Wattao Junior et ses éléments, Djè Franck a dit: «Nous faisons confiance aux autorités judiciaires ». Pour la circonstance, ils étaient accompagnés des éléments FRCI de Yopougon, avec lesquels, l’entente semble au beau fixe.
Dedi A.