Abidjan -La Banque mondiale entend désormais engager les médias en Afrique pour un partenariat actif et dynamique, en vue d’induire ou impulser la croissance et le développement sur le continent noir, annonce sa vice-présidente pour la Région Afrique, depuis mai 2007, la Nigériane Obiageli Ezekwesili, indiquant que « le mandat de la Banque mondiale vise à débarrasser le monde de la pauvreté », l’un des objectifs de la nouvelle stratégie de l’institution.
La nouvelle vision stratégique de la Banque mondiale, adoptée en mars dernier, et mise en œuvre actuellement, se veut participative, et vise à signer ou renforcer des partenariats avec l’ensemble des acteurs intervenant dans le domaine du développement. «(…) Notre stratégie de plus en plus, c’est celle des partenariats avec les Etats, la société civile et les médias qui permettent de déboucher sur les réponses ou solutions efficientes au soulagement des populations », plaide Mme Ezekwesili, coupant court, lundi, à toute polémique sur les effets de l’action de la Banque mondiale au profit du développement, lors d’une visioconférence, depuis Washington DC, siège de l’institution.
Organisée par le programme Initiative pour les médias d’Afrique(IMA), cette visioconférence, axée sur la problématique du rôle des médias en matière de développement, avait pour but de mieux faire partager la nouvelle vision de la Banque à l’ensemble des partenaires impliqués dans les politiques et actions de développement intégré des populations. La Banque mondiale a grandement besoin du concours des médias, non seulement pour la mise en œuvre de cette nouvelle vision pour l’Afrique, mais pour leur rôle dans le débat sur les politiques ou plans de développement intégrant la diversification des filières productives, notamment la sécurité alimentaire, les ressources en eau et les ressources énergétiques.
Dans cette perspective, la Banque mondiale, plaçant l’instrument Médias au cœur de sa démarche institutionnelle, entend accompagner l’essor des médias par le renforcement de leurs capacités, leur adaptation aux technologies nouvelles de l’information et de la communication ainsi que l’accès au financement, assure ce haut responsable, justifiant que « là où il y a des difficultés, des dysfonctionnements, les outils d’information et de communication peuvent être d’un apport capital et sans nombre ».
La nouvelle vision stratégique de la Banque mondiale, adoptée en mars dernier, et mise en œuvre actuellement, se veut participative, et vise à signer ou renforcer des partenariats avec l’ensemble des acteurs intervenant dans le domaine du développement. «(…) Notre stratégie de plus en plus, c’est celle des partenariats avec les Etats, la société civile et les médias qui permettent de déboucher sur les réponses ou solutions efficientes au soulagement des populations », plaide Mme Ezekwesili, coupant court, lundi, à toute polémique sur les effets de l’action de la Banque mondiale au profit du développement, lors d’une visioconférence, depuis Washington DC, siège de l’institution.
Organisée par le programme Initiative pour les médias d’Afrique(IMA), cette visioconférence, axée sur la problématique du rôle des médias en matière de développement, avait pour but de mieux faire partager la nouvelle vision de la Banque à l’ensemble des partenaires impliqués dans les politiques et actions de développement intégré des populations. La Banque mondiale a grandement besoin du concours des médias, non seulement pour la mise en œuvre de cette nouvelle vision pour l’Afrique, mais pour leur rôle dans le débat sur les politiques ou plans de développement intégrant la diversification des filières productives, notamment la sécurité alimentaire, les ressources en eau et les ressources énergétiques.
Dans cette perspective, la Banque mondiale, plaçant l’instrument Médias au cœur de sa démarche institutionnelle, entend accompagner l’essor des médias par le renforcement de leurs capacités, leur adaptation aux technologies nouvelles de l’information et de la communication ainsi que l’accès au financement, assure ce haut responsable, justifiant que « là où il y a des difficultés, des dysfonctionnements, les outils d’information et de communication peuvent être d’un apport capital et sans nombre ».