L’événement annoncé sur plusieurs jours par L’Intelligent d’Abidjan a tenu ses promesses. Des invités et des associations qui ont signalé leur présence quelques jours plus tôt étaient là. La surprise a été la présence des députés venus soutenir l’un des leurs. On n’y attendait pas, Dagobert ayant ‘’rompu les amarres’’ avec l’hémicycle depuis 2005 où il a été appelé au gouvernement. Les honorables Frégbo Basile de Sassandra, Gouali Dodo Junior et Matto Joseph de Vavoua, ont apporté un soutien remarqué au ministre. La presse n’était pas en reste. Plus de vingt organes de la presse écrite, de la presse en ligne et de l’audiovisuel ont été mobilisés. Inutile de dire qu’il y a eu une pluie de questions sous le contrôle bienveillant du modérateur-maison. Le ministre a aimé l’exercice, se disant même prêt à accorder deux autres heures après les deux premières épuisées. Que dire de l’ambiance avant, pendant et après l’événement ? Festive dirait-on. Du groupe de Wôyo (ambiance musicale purement ivoirienne avec ses chants élogieux aux différents intermèdes musicaux distillés par la sono, tout concourait à une symphonie presque parfaite. Et le cocktail alors ? Digne d’une organisation minutieusement préparée et servi par des filles à l’amabilité légendaire, employées de L’Intelligent d’Abidjan, volontaires et serviables à souhait, le cocktail fut une partie de plaisir. Le ministre et sa délégation en ont eu pour une heure environ dans le bureau du directeur général Alafé Wakili en présence du directeur de publication Touré Youssouf le ‘’manitou’’ d’un après-midi. Il s’est même distingué au cours des échanges par ses questions utilement préoccupantes. C’est aussi cela la marque de L’Intelligent d’Abidjan. Rendez-vous dans les jours à venir avec le maire Danho Paulin et le ministre des Transports Gaoussou Touré.
L’événement comme si vous y étiez
Le lundi 5 septembre 2011, la Rédaction de l’Intelligent d’Abidjan recevait le ministre du Commerce, Dagobert Banzio, pour se prononcer sur un thème majeur et d’actualité : «La fixation et la régulation des prix dans un système de libéralisation : Rôle et responsabilité de l’Etat». Le ministre-député de Bloléquin, a convaincu le public au cours de son intervention. Accompagné de plusieurs collaborateurs, des amis et des cadres de l’administration, Dagobert Banzio a, sans faux-fuyants, répondu à toutes les questions des journalistes et celles des représentants de consommateurs. A chaque question, le ministre député a donné des réponses claires et précises, documents à l’appui. Mais, bien avant Dagobert Banzio a expliqué le rôle de l’Etat, et surtout le processus de fixation des prix. Un processus, dit-il, complexe. Car, de son rôle de régulateur, l’Etat doit pouvoir contenter toutes les parties (opérateurs économiques et consommateurs). D’un côté, il faut faire en sorte que le commerçant ne perde pas trop de crainte qu’il ne mette la clé sous le paillasson. De l’autre, l’Etat doit s’assurer que le consommateur ne paie pas plus, pour un produit censé être moins cher. De ce rôle de régulateur, Dagobert Banzio estime que le gouvernement entend toujours jouer sa partition. Les consommateurs et les organismes de défense des droits des consommateurs doivent jouer la leur, a indiqué l’invité de marque du jour. Estimant que ceux-ci sont en contact permanent avec les acteurs du marché. Pour ce rôle d’informateur de l’évolution des prix sur le marché, le ministre a mis les hommes de média à contribution, sans toutefois susciter l’inflation. Puisque, dans le cadre du commerce, les prix évoluent en fonction de l’actualité. En plus des produits que l’on sait, Dagobert Banzio a donné des informations relatives au coût des services dont le loyer qui devient objet de spéculation. Selon lui, le gouvernement y travaille, en attaquant le mal à la racine. Il s’est également prononcé sur le coût des matériaux dont le ciment, le fer et bien d’autres choses. Le ministre n’a pas aussi occulté la problématique du coût de l’électricité et de l’eau, quoique sensible. Sur ce sujet, il a donné l’assurance selon laquelle le gouvernement réfléchit. Le ministre Dagobert Banzio a maîtrisé son sujet.
Honoré Kouassi
L’événement comme si vous y étiez
Le lundi 5 septembre 2011, la Rédaction de l’Intelligent d’Abidjan recevait le ministre du Commerce, Dagobert Banzio, pour se prononcer sur un thème majeur et d’actualité : «La fixation et la régulation des prix dans un système de libéralisation : Rôle et responsabilité de l’Etat». Le ministre-député de Bloléquin, a convaincu le public au cours de son intervention. Accompagné de plusieurs collaborateurs, des amis et des cadres de l’administration, Dagobert Banzio a, sans faux-fuyants, répondu à toutes les questions des journalistes et celles des représentants de consommateurs. A chaque question, le ministre député a donné des réponses claires et précises, documents à l’appui. Mais, bien avant Dagobert Banzio a expliqué le rôle de l’Etat, et surtout le processus de fixation des prix. Un processus, dit-il, complexe. Car, de son rôle de régulateur, l’Etat doit pouvoir contenter toutes les parties (opérateurs économiques et consommateurs). D’un côté, il faut faire en sorte que le commerçant ne perde pas trop de crainte qu’il ne mette la clé sous le paillasson. De l’autre, l’Etat doit s’assurer que le consommateur ne paie pas plus, pour un produit censé être moins cher. De ce rôle de régulateur, Dagobert Banzio estime que le gouvernement entend toujours jouer sa partition. Les consommateurs et les organismes de défense des droits des consommateurs doivent jouer la leur, a indiqué l’invité de marque du jour. Estimant que ceux-ci sont en contact permanent avec les acteurs du marché. Pour ce rôle d’informateur de l’évolution des prix sur le marché, le ministre a mis les hommes de média à contribution, sans toutefois susciter l’inflation. Puisque, dans le cadre du commerce, les prix évoluent en fonction de l’actualité. En plus des produits que l’on sait, Dagobert Banzio a donné des informations relatives au coût des services dont le loyer qui devient objet de spéculation. Selon lui, le gouvernement y travaille, en attaquant le mal à la racine. Il s’est également prononcé sur le coût des matériaux dont le ciment, le fer et bien d’autres choses. Le ministre n’a pas aussi occulté la problématique du coût de l’électricité et de l’eau, quoique sensible. Sur ce sujet, il a donné l’assurance selon laquelle le gouvernement réfléchit. Le ministre Dagobert Banzio a maîtrisé son sujet.
Honoré Kouassi
