Activités multiples et croisées à Washington. Cette lettre est la dernière d’Amérique. L'Amérique est un grand pays, un pays continent qui ne se laisse pas dompter dès le premier coup. L'Amérique est hospitalière mais difficile. Pour parler de l'Amérique, il faut la connaître. Pour la connaître, il faut aller au-delà des rencontres brèves et furtives, des correspondances d'avions dans les aéroports. Pour la connaître, il faut aller au-delà de la vie dans les hôtels. Une vie sans pression, en dehors de la contrainte financière.
Sortir des hôtels pour vivre chez les gens, pour dormir dans des maisons particulières. Connaître l'Amérique, c'est prendre le bus et le métro là où il y en a, c'est écouter les histoires individuelles. Pas seulement celles des hommes et femmes de Côte d’Ivoire, mais aussi celles des hommes et femmes d'Amérique. Ceux et celles venus d'Europe, d'Asie et de partout dans le monde. Ceux et celles venues chercher un avenir meilleur dans le nouveau monde. Un homme qui a satisfait aux espérances de la majorité. Comprendre l'Amérique, ce n’est pas forcément y résider ni immigrer, mais rester pour au moins un mois de séjour et de visites. C’est aller au-delà de New-York, de Washington pour entrer dans l'Amérique rurale, l’Amérique profonde. Connaître et comprendre l'Amérique, c'est faire ce que les résidents et les citoyens ne peuvent eux-mêmes faire: visiter chacun de la cinquantaine d'Etats par les airs et la route. Voir comment les hommes et les femmes si differents et venus d'horizons si divers peuvent nourrir le senitment fort d'appartenance à une nation, en s'engageant pour sa grandeur et son intégrité. Pour saisir cette vraie Amérique et la restituer même aux Américians qui n'ont pas le temps et les moyens de s'y faire, il faut donc aller au-delà des séminaires, des voyages officiels et de l'évènement. Même le célèbre programme de visiteurs internations, n'offre pas la possibilité de connaître l'Amérique qui a besoin que l'officiel et l'officieux alternent pour capter tout. Quand le gouvernement fédéral te ‘’coache’’ pour un séjour, tant de choses peuvent échapper. On peut multiplier ce genre de voyages et de séjours, on peut aussi bien étudier aux USA et y résider sans jamais vraiment dompter et comprendre l'Amérique. Au moment où ce rendez épistolaire prend fin, en attendant de donner par d'autres voies les nouvelles de l'Amérique, il est clair que le désir de connaître et dompter l'Amérique ne manque pas. Un pays qu'on quitte et dans lequel on a envie de revenir, et dans lequel on se dit qu'on n'aurait pu rester, en pensant à quinze ans en arrière, un pays chaleureux qu'on doit chercher à comprendre en dehors des circuits traditionnels. L'Amérique est un pays à connaître et à découvrir. Et me voici en train de penser à Isaïe Biton Koulibaly, écrivain à succès et chroniqueur à l’IA. Sensible à la “American Way of Life”, Biton devrait être de cette grande aventure d'au moins un mois, visant à connaître de fond en comble l'Amérique. Une aventure sans pression ni contrainte. Qui peut même donner lieu à une sorte de télé réalité pour l’Ivoirien et l’Africain. Connaître, comprendre et découvrir l'Amérique est une grande passion à réaliser, un défi réel à relever. Une passion, un défi et une aventure au cours desquels, l'écrivain- chroniqueur ferait par exemple un billet quotidien dans votre journal préféré, (sa letrre d'Amérique). Et à l'issue de son voyage avec un agenda et un programme inhabituel ( ni résidence d'écrivain, ni reportage classique habituel), il pourrait produire de nombreux romans à succès, tant les sources d'inspiration ne manquent pas. Biton, l'Amérique t'attend; l'Amérique nous attend. God bless us. Dieu bénisse la Côte d'Ivoire! God bless America. Bye bye and see you next time. Au revoir et à bientôt... Amérique !
Alafé Wakili
Sortir des hôtels pour vivre chez les gens, pour dormir dans des maisons particulières. Connaître l'Amérique, c'est prendre le bus et le métro là où il y en a, c'est écouter les histoires individuelles. Pas seulement celles des hommes et femmes de Côte d’Ivoire, mais aussi celles des hommes et femmes d'Amérique. Ceux et celles venus d'Europe, d'Asie et de partout dans le monde. Ceux et celles venues chercher un avenir meilleur dans le nouveau monde. Un homme qui a satisfait aux espérances de la majorité. Comprendre l'Amérique, ce n’est pas forcément y résider ni immigrer, mais rester pour au moins un mois de séjour et de visites. C’est aller au-delà de New-York, de Washington pour entrer dans l'Amérique rurale, l’Amérique profonde. Connaître et comprendre l'Amérique, c'est faire ce que les résidents et les citoyens ne peuvent eux-mêmes faire: visiter chacun de la cinquantaine d'Etats par les airs et la route. Voir comment les hommes et les femmes si differents et venus d'horizons si divers peuvent nourrir le senitment fort d'appartenance à une nation, en s'engageant pour sa grandeur et son intégrité. Pour saisir cette vraie Amérique et la restituer même aux Américians qui n'ont pas le temps et les moyens de s'y faire, il faut donc aller au-delà des séminaires, des voyages officiels et de l'évènement. Même le célèbre programme de visiteurs internations, n'offre pas la possibilité de connaître l'Amérique qui a besoin que l'officiel et l'officieux alternent pour capter tout. Quand le gouvernement fédéral te ‘’coache’’ pour un séjour, tant de choses peuvent échapper. On peut multiplier ce genre de voyages et de séjours, on peut aussi bien étudier aux USA et y résider sans jamais vraiment dompter et comprendre l'Amérique. Au moment où ce rendez épistolaire prend fin, en attendant de donner par d'autres voies les nouvelles de l'Amérique, il est clair que le désir de connaître et dompter l'Amérique ne manque pas. Un pays qu'on quitte et dans lequel on a envie de revenir, et dans lequel on se dit qu'on n'aurait pu rester, en pensant à quinze ans en arrière, un pays chaleureux qu'on doit chercher à comprendre en dehors des circuits traditionnels. L'Amérique est un pays à connaître et à découvrir. Et me voici en train de penser à Isaïe Biton Koulibaly, écrivain à succès et chroniqueur à l’IA. Sensible à la “American Way of Life”, Biton devrait être de cette grande aventure d'au moins un mois, visant à connaître de fond en comble l'Amérique. Une aventure sans pression ni contrainte. Qui peut même donner lieu à une sorte de télé réalité pour l’Ivoirien et l’Africain. Connaître, comprendre et découvrir l'Amérique est une grande passion à réaliser, un défi réel à relever. Une passion, un défi et une aventure au cours desquels, l'écrivain- chroniqueur ferait par exemple un billet quotidien dans votre journal préféré, (sa letrre d'Amérique). Et à l'issue de son voyage avec un agenda et un programme inhabituel ( ni résidence d'écrivain, ni reportage classique habituel), il pourrait produire de nombreux romans à succès, tant les sources d'inspiration ne manquent pas. Biton, l'Amérique t'attend; l'Amérique nous attend. God bless us. Dieu bénisse la Côte d'Ivoire! God bless America. Bye bye and see you next time. Au revoir et à bientôt... Amérique !
Alafé Wakili