Partira ? Partira pas ? Jean-Marc Nobilo n’en sait rien. Pour l’instant. Il continue d’attendre une décision du nouveau président de la Fédération ivoirienne de football.
Quel est votre avenir à la tête de la direction technique nationale depuis l’arrivée à la FIF de Sidy Diallo ?
Sachez une chose. J’ai été recruté pour une mission, pour un plan d’actions de deux à quatre ans. J’ai un contrat bien défini et je ne demande qu’à travailler.
Avez-vous rencontré les nouveaux patrons du football ivoirien ?
J’ai rencontré Augustin Sidy Diallo et Sory Diabaté, il y a une dizaine de jours. Je leur ai présenté mon plan d’actions à court terme.
Parlez-nous en justement …
Il y a un projet de relance dans les trois prochains mois du football féminin, du football des jeunes, des centres de formation, Des sélections nationales, de la formation des entraîneurs en termes de Licences A et B, de restructuration et la redynamisation de la direction technique nationale. Je leur ai élaboré quelque chose de plus concis. Il est un petit peu scientifique sur les deux prochaines années. J’ose espérer que cette semaine, j’aurai des nouvelles et que des décisions seront prises concernant mon avenir.
Etes-vous optimiste ?
En Afrique, en Europe, en Asie, le poste de DTN est sportif mais aussi un peu politique. Il n’y a qu’à voir Legraet en France. Lorsqu’il a été nommé président de la Fédération française de football, il a placé ses hommes. Le DTN a été refixé dans d’autres orientations. Il est bon de savoir que nous sommes sur des postes comme cela… Après, il y a deux solutions : soit les gens veulent travailler avec moi par rapport à ce que j’ai pu faire en termes de formation au Havre ou au Bénin. Soit ils ne le considèrent pas et là, ce sera l’objet d’une autre discussion.
Le fait d’avoir été nommé DTN grâce à Me Roger Ouégnin ne vous pénalise-t-il pas aujourd’hui ?
Je n’ai pas envie de rentrer dans un tel débat. C’est la raison pour laquelle lorsqu’il y a eu les élections à la FIF, je suis rentré en France. Tout simplement parce que j’ai une règle d’or à l’étranger.
Laquelle ?
Jamais de politique, jamais de religion… Je suis là pour un plan d’actions sur un plan purement technique. J’ai été l’homme d’un CV par rapport à un profil. On souhaitait relancer la formation des jeunes, la formation des entraîneurs en Côte d’Ivoire avec quelqu’un qui sort d’un centre de formation reconnu. Cela a été le cas avec le Havre. Quelqu’un qui a été DTN en Ile Maurice (grâce à Aimé Jacquet), au Liban (grâce à Hidalgo). J’ai une expérience de sélectionneur A, d’entraîneur de Ligue 1 et Ligue 2. C’est donc grâce à ce CV que je suis devenu DTN en Côte d’Ivoire. Et j’en suis honoré. Je peux vous parler de football et non de comment je suis venu en Côte d’Ivoire…
Dans quel état avez-vous trouvé la DTN depuis votre nomination et qu’avez-vous fait jusque-là ?
Depuis que je suis rentré en septembre, nous avons une réunion plénière de deux à trois heures tous les mercredis matins. Je demande à ceux avec qui je travaille, un travail sur les structures de formation, les compétitions de masse, les compétitions à venir, la formation des entraînements, comment organiser les sélections régionales, les sélections nationales. Il y a du travail qui est fait par mes cadres et ils me remettent des dossiers. En termes de plan d’actions, j’ai le plan d’actions. J’ai l’organisation des actions. J’ai même budgétisé ces actions. Les dossiers sont dans les mains du président Sidy Diallo et de son premier vice-président Sory Diabaté. J’attends leurs réponses pour savoir comment on pourra relancer le football des jeunes.
Entretien réalisé par Guy-Florentin Yaméogo
Quel est votre avenir à la tête de la direction technique nationale depuis l’arrivée à la FIF de Sidy Diallo ?
Sachez une chose. J’ai été recruté pour une mission, pour un plan d’actions de deux à quatre ans. J’ai un contrat bien défini et je ne demande qu’à travailler.
Avez-vous rencontré les nouveaux patrons du football ivoirien ?
J’ai rencontré Augustin Sidy Diallo et Sory Diabaté, il y a une dizaine de jours. Je leur ai présenté mon plan d’actions à court terme.
Parlez-nous en justement …
Il y a un projet de relance dans les trois prochains mois du football féminin, du football des jeunes, des centres de formation, Des sélections nationales, de la formation des entraîneurs en termes de Licences A et B, de restructuration et la redynamisation de la direction technique nationale. Je leur ai élaboré quelque chose de plus concis. Il est un petit peu scientifique sur les deux prochaines années. J’ose espérer que cette semaine, j’aurai des nouvelles et que des décisions seront prises concernant mon avenir.
Etes-vous optimiste ?
En Afrique, en Europe, en Asie, le poste de DTN est sportif mais aussi un peu politique. Il n’y a qu’à voir Legraet en France. Lorsqu’il a été nommé président de la Fédération française de football, il a placé ses hommes. Le DTN a été refixé dans d’autres orientations. Il est bon de savoir que nous sommes sur des postes comme cela… Après, il y a deux solutions : soit les gens veulent travailler avec moi par rapport à ce que j’ai pu faire en termes de formation au Havre ou au Bénin. Soit ils ne le considèrent pas et là, ce sera l’objet d’une autre discussion.
Le fait d’avoir été nommé DTN grâce à Me Roger Ouégnin ne vous pénalise-t-il pas aujourd’hui ?
Je n’ai pas envie de rentrer dans un tel débat. C’est la raison pour laquelle lorsqu’il y a eu les élections à la FIF, je suis rentré en France. Tout simplement parce que j’ai une règle d’or à l’étranger.
Laquelle ?
Jamais de politique, jamais de religion… Je suis là pour un plan d’actions sur un plan purement technique. J’ai été l’homme d’un CV par rapport à un profil. On souhaitait relancer la formation des jeunes, la formation des entraîneurs en Côte d’Ivoire avec quelqu’un qui sort d’un centre de formation reconnu. Cela a été le cas avec le Havre. Quelqu’un qui a été DTN en Ile Maurice (grâce à Aimé Jacquet), au Liban (grâce à Hidalgo). J’ai une expérience de sélectionneur A, d’entraîneur de Ligue 1 et Ligue 2. C’est donc grâce à ce CV que je suis devenu DTN en Côte d’Ivoire. Et j’en suis honoré. Je peux vous parler de football et non de comment je suis venu en Côte d’Ivoire…
Dans quel état avez-vous trouvé la DTN depuis votre nomination et qu’avez-vous fait jusque-là ?
Depuis que je suis rentré en septembre, nous avons une réunion plénière de deux à trois heures tous les mercredis matins. Je demande à ceux avec qui je travaille, un travail sur les structures de formation, les compétitions de masse, les compétitions à venir, la formation des entraînements, comment organiser les sélections régionales, les sélections nationales. Il y a du travail qui est fait par mes cadres et ils me remettent des dossiers. En termes de plan d’actions, j’ai le plan d’actions. J’ai l’organisation des actions. J’ai même budgétisé ces actions. Les dossiers sont dans les mains du président Sidy Diallo et de son premier vice-président Sory Diabaté. J’attends leurs réponses pour savoir comment on pourra relancer le football des jeunes.
Entretien réalisé par Guy-Florentin Yaméogo
