Des armes de guerre ont été saisies, samedi dernier, après une vaste perquisition dans les habitations de la caserne de gendarmerie d’Agban.
L’attaque de la caserne d’Agban dans la nuit de vendredi à samedi dernier commence à livrer ses secrets. Plus de 200 Kalachnikovs, des Fsa, des M16, des PKM, des caisses de minutions et de grenades ont été saisies par l’équipe d’enquêteurs chargée de la perquisition. Ces armes de guerre ont été retrouvées dans le bâtiment des éléments du groupe d’escadron blindé. Cela a conduit à l’arrestation de 21 gendarmes présumés suspects. Selon nos sources, ils ont été conduits au camp commando de Koumassi. Un des suspects aurait expliqué que c’est suite au bombardement du Geb que le commandant Abéhi leur a demandé de garder ces armes. Et c’est ce qu’ils ont fait. En plus de ces arrestations, tous les éléments du Geb ont été vidés de leur bâtiment. Cette vaste opération de perquisition de samedi a duré de 8h à 21h sur ordre du général Gervais Kouassi, commandant supérieur de la gendarmerie. A cet effet, toutes les brigades d’Abidjan-nord et l’unité d’intervention de la gendarmerie ont été mises à contribution. Les armes saisies ont été mises sous scellés. Les présumés suspects ont été entendus sur procès verbal (P.V), par les brigadiers et ensuite écroués à Koumassi. Il faut rappeler que cette opération fait suite à des coups de feu qui ont été entendus dans la nuit de vendredi à samedi, à la caserne de gendarmerie d’Agban. De sources proches du commandement supérieur, ce sont des éléments armés, pas encore complètement identifiés, qui ont lancé l’assaut contre la poudrière et le groupe d’escadron blindé. Toujours, selon nos sources, 15 minutes avant d’attaquer Agban, les assaillants auraient pris soin de proférer des menaces, via les radios de la gendarmerie. Et, détail intrigant, celui qui a été chargé de parler au nom du commando, se serait présenté comme le commandant Jean-Noël Abéhi. Pour expliquer les motivations de leurs actes, les agresseurs auraient mis en avant, la gestion du patron de la gendarmerie, le général Gervais Kouassi, qui ne serait pas tendre avec des gendarmes réputés être d’anciens suppôts de l’ancien régime au pouvoir. 15 minutes après avoir proféré ces menaces, le commando serait effectivement passé à l’attaque au moyen d’armes lourdes.
Bahi K.
L’attaque de la caserne d’Agban dans la nuit de vendredi à samedi dernier commence à livrer ses secrets. Plus de 200 Kalachnikovs, des Fsa, des M16, des PKM, des caisses de minutions et de grenades ont été saisies par l’équipe d’enquêteurs chargée de la perquisition. Ces armes de guerre ont été retrouvées dans le bâtiment des éléments du groupe d’escadron blindé. Cela a conduit à l’arrestation de 21 gendarmes présumés suspects. Selon nos sources, ils ont été conduits au camp commando de Koumassi. Un des suspects aurait expliqué que c’est suite au bombardement du Geb que le commandant Abéhi leur a demandé de garder ces armes. Et c’est ce qu’ils ont fait. En plus de ces arrestations, tous les éléments du Geb ont été vidés de leur bâtiment. Cette vaste opération de perquisition de samedi a duré de 8h à 21h sur ordre du général Gervais Kouassi, commandant supérieur de la gendarmerie. A cet effet, toutes les brigades d’Abidjan-nord et l’unité d’intervention de la gendarmerie ont été mises à contribution. Les armes saisies ont été mises sous scellés. Les présumés suspects ont été entendus sur procès verbal (P.V), par les brigadiers et ensuite écroués à Koumassi. Il faut rappeler que cette opération fait suite à des coups de feu qui ont été entendus dans la nuit de vendredi à samedi, à la caserne de gendarmerie d’Agban. De sources proches du commandement supérieur, ce sont des éléments armés, pas encore complètement identifiés, qui ont lancé l’assaut contre la poudrière et le groupe d’escadron blindé. Toujours, selon nos sources, 15 minutes avant d’attaquer Agban, les assaillants auraient pris soin de proférer des menaces, via les radios de la gendarmerie. Et, détail intrigant, celui qui a été chargé de parler au nom du commando, se serait présenté comme le commandant Jean-Noël Abéhi. Pour expliquer les motivations de leurs actes, les agresseurs auraient mis en avant, la gestion du patron de la gendarmerie, le général Gervais Kouassi, qui ne serait pas tendre avec des gendarmes réputés être d’anciens suppôts de l’ancien régime au pouvoir. 15 minutes après avoir proféré ces menaces, le commando serait effectivement passé à l’attaque au moyen d’armes lourdes.
Bahi K.