Où en êtes-vous avec le ‘’dialogue républicain‘’ ?
Aucune des conditions que nous avons posées n’a été satisfaite. Nous avons été reçus la toute dernière foi par M. le ministre d’Etat, ministre de l’Intérieur, avec qui, nous avons échangé précisément sur les questions de sécurité, et sur les questions de la Cei. Sur ce plan, aucune réponse ne nous a encore été donnée. Cela voudrait dire que les autorités ne veulent pas que le Fpi participe aux élections. Si tel est le cas, nous allons en payer les ressorts, et nous n’allons pas participer parce-que même si nous sommes pour les élections, il n’est pas question pour nous de participer à des élections en pensant à l’avance que nous serons écrasés. Nous estimons que c’est une façon de faire pression sur nous et que si les autorités reviennent à de bons sentiments pour prendre un temps soit peu en compte nos préoccupations, la date va être revue.
Est-ce que si certaines de ces préoccupations sont satisfaites, vous être prêts à aller aux élections ?
De toute façon, nous sommes en politique et on ne peut pas attendre que toutes les préoccupations soient satisfaites avant de prendre une décision. Nous allons nous réunir au niveau de nos instances, si les conditions que nous estimons incompressibles sont mises en place, nous iront aux élections.
Le dialogue n’est-il pas rompu ?
Non, le dialogue n’est pas rompu, nous sommes dans la logique du dialogue. Imaginez-vous depuis la dernière rencontre avec son excellence M. le président de la République, à ce jour, nous n’avons pas encore été rappelés. Nous attendons.
Propos recueillis par O.T sur Onuci-fm
Aucune des conditions que nous avons posées n’a été satisfaite. Nous avons été reçus la toute dernière foi par M. le ministre d’Etat, ministre de l’Intérieur, avec qui, nous avons échangé précisément sur les questions de sécurité, et sur les questions de la Cei. Sur ce plan, aucune réponse ne nous a encore été donnée. Cela voudrait dire que les autorités ne veulent pas que le Fpi participe aux élections. Si tel est le cas, nous allons en payer les ressorts, et nous n’allons pas participer parce-que même si nous sommes pour les élections, il n’est pas question pour nous de participer à des élections en pensant à l’avance que nous serons écrasés. Nous estimons que c’est une façon de faire pression sur nous et que si les autorités reviennent à de bons sentiments pour prendre un temps soit peu en compte nos préoccupations, la date va être revue.
Est-ce que si certaines de ces préoccupations sont satisfaites, vous être prêts à aller aux élections ?
De toute façon, nous sommes en politique et on ne peut pas attendre que toutes les préoccupations soient satisfaites avant de prendre une décision. Nous allons nous réunir au niveau de nos instances, si les conditions que nous estimons incompressibles sont mises en place, nous iront aux élections.
Le dialogue n’est-il pas rompu ?
Non, le dialogue n’est pas rompu, nous sommes dans la logique du dialogue. Imaginez-vous depuis la dernière rencontre avec son excellence M. le président de la République, à ce jour, nous n’avons pas encore été rappelés. Nous attendons.
Propos recueillis par O.T sur Onuci-fm