Les Etats de la CEDEAO ont harmonisé leurs politiques en électricité avec les opérateurs en vue de la qualité et le développement de la région mais aussi de permettre aux maximum des populations d’avoir accès à cette denrée indispensable. C’est l’une des recommandations du 2ème forum sur la régulation régional du secteur de l’électricité de la CEDEAO qui a pris fin, le mercredi 23 novembre dernier, à l’hôtel Belle Côte, à la Riviera Palmeraie, à Abidjan-Cocody.
« Nous avons mis l’accent sur l’étude pour l’harmonisation du marché. Et si la feuille de route est appliquée dans les 18 mois à venir ainsi que l’exécution du plan directeur dans les 5 ans à venir nous sommes convaincus de baisser le prix du coût de l’électricité non sans omettre la qualité de service », a déclaré Ibrahima Thiam, président de l’Autorité de régulation régionale du secteur de l’électricité de la CEDEAO (ARREC). Il S’est réjoui de la mise en place des comités consultatifs des régulateurs et des opérateurs de l’ARREC et de l’adoption du règlement intérieur et du consensus sur les orientations à donner pour l’actualisation du plan directeur et de la production et du transport d’électricité de la zone.
Le directeur général de l’Electricité, Simon Edi, représentant le ministère des Mines, du Pétrole et de l’Energie, a apprécié les travaux. « Les consensus nous permettrons d’éviter le risque d’aller vers un marché de l’électricité sans la prise en compte des préoccupations de tous les acteurs impliqués », a-t-il dit.
Les participants ont recommandé la création d’un réseau d’échanges d’information et d’assistance entre régulateurs nationaux, la mise en place du comité de consommateurs, l’assistance des Etats aux régulateurs, un programme de renforcement des capacités, la facilitation du processus d’harmonisation institutionnel et d’organisation du marché, etc.
La Côte d’Ivoire envisage de participer pleinement au système d’échanges d’énergie électrique ouest africain (EEOA). L’Etat ivoirien ambitionne d’inaugurer la fourniture de l’énergie électrique au Mali en 2012. L’interconnexion avec la Guinée, la Sierra Léone et la Libéria va suivre celle du Mali. Pour honorer les engagements, la stratégie de développement du secteur ivoirien de l’électricité prévoit une augmentation de puissance d’environ 150 méga watt chaque année sur les 10 ans à venir.
Gomon Edmond
« Nous avons mis l’accent sur l’étude pour l’harmonisation du marché. Et si la feuille de route est appliquée dans les 18 mois à venir ainsi que l’exécution du plan directeur dans les 5 ans à venir nous sommes convaincus de baisser le prix du coût de l’électricité non sans omettre la qualité de service », a déclaré Ibrahima Thiam, président de l’Autorité de régulation régionale du secteur de l’électricité de la CEDEAO (ARREC). Il S’est réjoui de la mise en place des comités consultatifs des régulateurs et des opérateurs de l’ARREC et de l’adoption du règlement intérieur et du consensus sur les orientations à donner pour l’actualisation du plan directeur et de la production et du transport d’électricité de la zone.
Le directeur général de l’Electricité, Simon Edi, représentant le ministère des Mines, du Pétrole et de l’Energie, a apprécié les travaux. « Les consensus nous permettrons d’éviter le risque d’aller vers un marché de l’électricité sans la prise en compte des préoccupations de tous les acteurs impliqués », a-t-il dit.
Les participants ont recommandé la création d’un réseau d’échanges d’information et d’assistance entre régulateurs nationaux, la mise en place du comité de consommateurs, l’assistance des Etats aux régulateurs, un programme de renforcement des capacités, la facilitation du processus d’harmonisation institutionnel et d’organisation du marché, etc.
La Côte d’Ivoire envisage de participer pleinement au système d’échanges d’énergie électrique ouest africain (EEOA). L’Etat ivoirien ambitionne d’inaugurer la fourniture de l’énergie électrique au Mali en 2012. L’interconnexion avec la Guinée, la Sierra Léone et la Libéria va suivre celle du Mali. Pour honorer les engagements, la stratégie de développement du secteur ivoirien de l’électricité prévoit une augmentation de puissance d’environ 150 méga watt chaque année sur les 10 ans à venir.
Gomon Edmond