Le candidat aux législatives à Bouaflé, Charles Koffi Diby, a profité du lancement de sa campagne, pour couper court, à toutes les rumeurs sur la dévaluation du Fcfa.
Le ministre de l’Economie et des Finances, candidat aux législatives à Bouaflé sous-préfecture a estimé, samedi, que la confiance en lui, placée par les populations est grande. ‘’Donnez-moi ce poste et on fait le bilan dans cinq ans », a-t-il exhorté depuis le vaste bourg de N’Dénoukro, en présence d’une pléthore de personnalités. Pour l’entrée en campagne de l’argentier du gouvernement, le prix en valait la chandelle. Une vingtaine de bâches, plus d’un millier de personnes, des membres du gouvernement, des opérateurs économiques avec une présence record des têtes couronnées, venues de tout le département de Bouaflé. ‘’La confiance placée en moi est grande. Je prends l’engagement de travailler avec amour et dignité. J’ai peur de la honte ’’, a indiqué Charles Koffi Diby, qui estime que l’heure de l’engagement politique a sonné. ‘’Le temps de faire la politique a sonné et je suis désormais à la disposition de mon parti le Pdci’’, a-t-il poursuivi. Pour beaucoup, samedi à N’Dénoukro, ce serait un truisme que Charles Koffi Diby parle exclusivement de politique sans ouvrir une brèche sur la folle rumeur évoquant une éventuelle dévaluation du Franc Cfa.’’ C’est insensé, c’est incongrue, c’est irresponsable de parler de dévaluation d’une monnaie qui garantit une économie de croissance. Ça n’existe nulle part au monde’’, s’est insurgé le ministre de l’économie ; qui est allé plus loin en soulignant que l’année prochaine, la Côte d’Ivoire aura un taux de croissance de huit points. ‘’C’est un bon impressionnant. Les années qui vont suivre, on ne sera pas loin d’une croissance à deux chiffres. Le président dit qu’en 2020, nous devons devenir un pays émergent. Parler de dévaluation serait envisageable si nous étions restés en récession. Alors que nous sommes en croissance », s’est voulu on ne peut plus clair, le candidat du Pdci aux législatives à Bouaflé qui, visiblement, s’est déjà mis dans la peau du parlementaire en attente de ses attributs. Les nombreuses interventions, ainsi que les allégeances à lui faites, à son investiture, en présence du président du Conseil économique et social, Marcel Zadi Kessy, lui donnent indubitablement la faveur des pronostics. Pour rappel, le parti de Henri Konan Bédié est arrivé en tête au premier tour de l’élection présidentielle dans la sous-préfecture de Bouaflé, avec plus de 30 000 voix devant le candidat de la majorité présidentielle, qui a obtenu 21 000 voix et le Rdr qui ne s’est contenté que de 13 000 voix.
Inza D Kader, Correspondant régional
Le ministre de l’Economie et des Finances, candidat aux législatives à Bouaflé sous-préfecture a estimé, samedi, que la confiance en lui, placée par les populations est grande. ‘’Donnez-moi ce poste et on fait le bilan dans cinq ans », a-t-il exhorté depuis le vaste bourg de N’Dénoukro, en présence d’une pléthore de personnalités. Pour l’entrée en campagne de l’argentier du gouvernement, le prix en valait la chandelle. Une vingtaine de bâches, plus d’un millier de personnes, des membres du gouvernement, des opérateurs économiques avec une présence record des têtes couronnées, venues de tout le département de Bouaflé. ‘’La confiance placée en moi est grande. Je prends l’engagement de travailler avec amour et dignité. J’ai peur de la honte ’’, a indiqué Charles Koffi Diby, qui estime que l’heure de l’engagement politique a sonné. ‘’Le temps de faire la politique a sonné et je suis désormais à la disposition de mon parti le Pdci’’, a-t-il poursuivi. Pour beaucoup, samedi à N’Dénoukro, ce serait un truisme que Charles Koffi Diby parle exclusivement de politique sans ouvrir une brèche sur la folle rumeur évoquant une éventuelle dévaluation du Franc Cfa.’’ C’est insensé, c’est incongrue, c’est irresponsable de parler de dévaluation d’une monnaie qui garantit une économie de croissance. Ça n’existe nulle part au monde’’, s’est insurgé le ministre de l’économie ; qui est allé plus loin en soulignant que l’année prochaine, la Côte d’Ivoire aura un taux de croissance de huit points. ‘’C’est un bon impressionnant. Les années qui vont suivre, on ne sera pas loin d’une croissance à deux chiffres. Le président dit qu’en 2020, nous devons devenir un pays émergent. Parler de dévaluation serait envisageable si nous étions restés en récession. Alors que nous sommes en croissance », s’est voulu on ne peut plus clair, le candidat du Pdci aux législatives à Bouaflé qui, visiblement, s’est déjà mis dans la peau du parlementaire en attente de ses attributs. Les nombreuses interventions, ainsi que les allégeances à lui faites, à son investiture, en présence du président du Conseil économique et social, Marcel Zadi Kessy, lui donnent indubitablement la faveur des pronostics. Pour rappel, le parti de Henri Konan Bédié est arrivé en tête au premier tour de l’élection présidentielle dans la sous-préfecture de Bouaflé, avec plus de 30 000 voix devant le candidat de la majorité présidentielle, qui a obtenu 21 000 voix et le Rdr qui ne s’est contenté que de 13 000 voix.
Inza D Kader, Correspondant régional
