Bouaké -La Cour d’appel de Bouaké a organisé mercredi, sa rentrée judiciaire, marquée par l’installation des magistrats en présence du préfet de la région de la Vallée du Bandama, des autorités traditionnelles et religieuses locales.
Ce sont 27 personnes dont le nouveau procureur général de la Cour d’appel de Bouaké, Koné Kalilou, et le premier président de la Cour d’appel, Moularé Blaise Simplice, qui ont été installées par le directeur de cabinet du ministre de la Justice, Fodjo Abo Kadjo, par ailleurs procureur sortant près de ladite Cour d’appel en présence du directeur des services judiciaires, Alain Zunon.
Le directeur de cabinet du ministre de la Justice s’est réjoui de la reprise des activités de la Cour d’appel de Bouaké après 10 ans d’inexistence en raison de la crise politico-militaire qu’a connue le pays.
‘’Des justiciables lésés dans leurs droits, des élèves et étudiants qui avaient besoin de casiers judiciaires ne savaient pas à quel saint se vouer ont des raisons d’espérer’’, a-t-il déclaré.
Fodjo Kadjo, faisant remarquer l’importance de la justice dans une société civilisée, a souhaité qu’avec la réouverture de la Cour d’appel de Bouaké dans un contexte de sortie de crise, la justice puisse exercer sans difficulté, en toute sécurité et sans entrave.
L’ancien procureur général près ladite Cour a fait savoir qu’il était impérieux que le président de la République, Alassane Ouattara, nomme des magistrats compétents, pétris d’expérience et de sagesse en cette période difficile tout en se disant persuadé qu’ils ne manqueront pas à relever le défi du moment qui les attend, à savoir œuvrer à la construction de l’image de la justice décriée, pour une justice crédible en Côte d’Ivoire.
Le nouveau procureur général de la cour d’appel de Bouaké, Koné Kalilou, a dit, pour sa part, compter sur le sens élevé et le sens du devoir de ses collègues pour relever le défi de la confiance à tous les justiciables et rendre la justice crédible et rassurante.
Il a invité toutefois la population à faire sa mutation et à avoir un esprit de justice pour permette à la justice de jouer son rôle et de réussir sa mission.
Le chef lieu de la région de la Vallée du Bandama abrite la deuxième Cour d’appel qui compte deux tribunaux de première instance, Bouaké et Korhogo et sept tribunaux de sections, à savoir Katiola, Toumodi, Dimbokro, Bongouanou, M’Bahiakro, Boundiali et Odienné.
Ce sont 27 personnes dont le nouveau procureur général de la Cour d’appel de Bouaké, Koné Kalilou, et le premier président de la Cour d’appel, Moularé Blaise Simplice, qui ont été installées par le directeur de cabinet du ministre de la Justice, Fodjo Abo Kadjo, par ailleurs procureur sortant près de ladite Cour d’appel en présence du directeur des services judiciaires, Alain Zunon.
Le directeur de cabinet du ministre de la Justice s’est réjoui de la reprise des activités de la Cour d’appel de Bouaké après 10 ans d’inexistence en raison de la crise politico-militaire qu’a connue le pays.
‘’Des justiciables lésés dans leurs droits, des élèves et étudiants qui avaient besoin de casiers judiciaires ne savaient pas à quel saint se vouer ont des raisons d’espérer’’, a-t-il déclaré.
Fodjo Kadjo, faisant remarquer l’importance de la justice dans une société civilisée, a souhaité qu’avec la réouverture de la Cour d’appel de Bouaké dans un contexte de sortie de crise, la justice puisse exercer sans difficulté, en toute sécurité et sans entrave.
L’ancien procureur général près ladite Cour a fait savoir qu’il était impérieux que le président de la République, Alassane Ouattara, nomme des magistrats compétents, pétris d’expérience et de sagesse en cette période difficile tout en se disant persuadé qu’ils ne manqueront pas à relever le défi du moment qui les attend, à savoir œuvrer à la construction de l’image de la justice décriée, pour une justice crédible en Côte d’Ivoire.
Le nouveau procureur général de la cour d’appel de Bouaké, Koné Kalilou, a dit, pour sa part, compter sur le sens élevé et le sens du devoir de ses collègues pour relever le défi de la confiance à tous les justiciables et rendre la justice crédible et rassurante.
Il a invité toutefois la population à faire sa mutation et à avoir un esprit de justice pour permette à la justice de jouer son rôle et de réussir sa mission.
Le chef lieu de la région de la Vallée du Bandama abrite la deuxième Cour d’appel qui compte deux tribunaux de première instance, Bouaké et Korhogo et sept tribunaux de sections, à savoir Katiola, Toumodi, Dimbokro, Bongouanou, M’Bahiakro, Boundiali et Odienné.