Le tout nouveau député élu de la commune d’Agboville, le ministre de l’Intégration africaine, Adama Bictogo, a rencontré samedi 24 décembre 2011 à son domicile d’Agboville, les chefs et les leaders des différentes communautés de sa circonscription. Au-delà de la gratitude à l’égard des chefs de communautés qui ont joué un rôle prépondérant dans son élection, le député Adama Bictogo a tenu à réitérer sa détermination à tenir ses promesses de campagne.
Reconstruction, développement et cohésion. C’est sous ce triptyque que le député de la commune d’Agboville place son mandat pour les cinq années à venir. C’est du reste le vœu des fils d’Agboville exprimé par le président de la communauté des chefs, N’Gbesso Louis. ‘’Nous avons une région à construire et nous comptons sur vous’’, a dit Nanan N’gbesso. ‘’Nous connaissons tous les problèmes de notre département. Durant la campagne, je me suis engagé à faire d’Agboville, un département doté d’infrastructures. Ce n’est pas un discours politicien. Chers parents, je ferai d’Agboville l’une des villes les plus coquettes du pays’’, a répondu à son tour Adama Bictogo. Rappelant sa méthode de travail, le député de la commune a dévoilé le vœu qu’il nourrit pour le département. ‘’Je souhaite qu’Agboville soit un modèle dans la reconstruction. Je souhaite qu’Agboville renforce sa capacité à vivre ensemble. J’ai la chance d’être au gouvernement. Sur fonds propres, la Côte d’Ivoire va engager 650 milliards pour le développement des routes en 2012. Mon combat est qu’Agboville bénéficie d’au moins 20 milliards sinon plus’’, a-t-il dit. Sur le même sujet, le député a fait savoir aux populations qu’une plate-forme de députés sera mise en place et elle se réunira une fois par trimestre avec les fils d’Agboville et d’Adzopé. Cette plate-forme qui regroupera les quatre députés de l’Agnéby-Tiassa débattra, a dit le député, des problèmes de développement de la région dans tous les compartiments. Il a évoqué le dossier de l’usine Cotivo qui fut le poumon économique de la région avant de mettre la clé sous le paillasson depuis belle lurette. ‘’L’étude est finie pour Cotivo. On n’est pas loin de l’ouverture de l’usine’’, a annoncé Adama Bictogo à la grande joie des chefs traditionnels. Le ministre de l’Intégration Africaine, Adama Bictogo, a appelé les chefs à aider à la cohésion et à la solidarité entre tous les enfants du département. «Il nous faut aller au-delà des considérations politiques pour construire notre département. Je n’ai pas voulu être député pour avoir un titre, j’ai voulu être député pour vous. Je voudrais ici traduire toute ma détermination à développer Agboville. Le président de la République Alassane Ouattara l’a dit, la Côte d’Ivoire sera un pays émergent d’ici à 2020. Je voudrais prendre le pari avec vous, qu’Agboville sera une ville émergente d’ici à 2020», a-t-il promis. Le député Adama Bictogo a invité les chefs traditionnels et les leaders de communautés à exercer un contrôle régulier sur le travail des élus. Ce sont dix-huit chefs de communautés, y compris le chef de terre d’Agboville, Nanan Djidja Denis, qui ont répondu à l’appel de leur député. L’ancien député du Fpi, Koffi Koffi Paul et le nouveau député d’Azaguié, le professeur Bamba Mamadou ont pris une part active à la rencontre.
S. Débailly, envoyé spécial
Reconstruction, développement et cohésion. C’est sous ce triptyque que le député de la commune d’Agboville place son mandat pour les cinq années à venir. C’est du reste le vœu des fils d’Agboville exprimé par le président de la communauté des chefs, N’Gbesso Louis. ‘’Nous avons une région à construire et nous comptons sur vous’’, a dit Nanan N’gbesso. ‘’Nous connaissons tous les problèmes de notre département. Durant la campagne, je me suis engagé à faire d’Agboville, un département doté d’infrastructures. Ce n’est pas un discours politicien. Chers parents, je ferai d’Agboville l’une des villes les plus coquettes du pays’’, a répondu à son tour Adama Bictogo. Rappelant sa méthode de travail, le député de la commune a dévoilé le vœu qu’il nourrit pour le département. ‘’Je souhaite qu’Agboville soit un modèle dans la reconstruction. Je souhaite qu’Agboville renforce sa capacité à vivre ensemble. J’ai la chance d’être au gouvernement. Sur fonds propres, la Côte d’Ivoire va engager 650 milliards pour le développement des routes en 2012. Mon combat est qu’Agboville bénéficie d’au moins 20 milliards sinon plus’’, a-t-il dit. Sur le même sujet, le député a fait savoir aux populations qu’une plate-forme de députés sera mise en place et elle se réunira une fois par trimestre avec les fils d’Agboville et d’Adzopé. Cette plate-forme qui regroupera les quatre députés de l’Agnéby-Tiassa débattra, a dit le député, des problèmes de développement de la région dans tous les compartiments. Il a évoqué le dossier de l’usine Cotivo qui fut le poumon économique de la région avant de mettre la clé sous le paillasson depuis belle lurette. ‘’L’étude est finie pour Cotivo. On n’est pas loin de l’ouverture de l’usine’’, a annoncé Adama Bictogo à la grande joie des chefs traditionnels. Le ministre de l’Intégration Africaine, Adama Bictogo, a appelé les chefs à aider à la cohésion et à la solidarité entre tous les enfants du département. «Il nous faut aller au-delà des considérations politiques pour construire notre département. Je n’ai pas voulu être député pour avoir un titre, j’ai voulu être député pour vous. Je voudrais ici traduire toute ma détermination à développer Agboville. Le président de la République Alassane Ouattara l’a dit, la Côte d’Ivoire sera un pays émergent d’ici à 2020. Je voudrais prendre le pari avec vous, qu’Agboville sera une ville émergente d’ici à 2020», a-t-il promis. Le député Adama Bictogo a invité les chefs traditionnels et les leaders de communautés à exercer un contrôle régulier sur le travail des élus. Ce sont dix-huit chefs de communautés, y compris le chef de terre d’Agboville, Nanan Djidja Denis, qui ont répondu à l’appel de leur député. L’ancien député du Fpi, Koffi Koffi Paul et le nouveau député d’Azaguié, le professeur Bamba Mamadou ont pris une part active à la rencontre.
S. Débailly, envoyé spécial