Le président de la Commission dialogue, vérité et réconciliation (CDVR) Charles Konan Banny, en tournée mardi dans la région du Guemon, s’est dit affligé par les nombreux massacres perpétrés dans cette partie de la Côte d’Ivoire depuis le déclenchement de la crise armée en 2002.
« Je suis venu compatir avec vous, prendre ma part de douleur et de responsabilité dans ce qui nous est arrivé », a déclaré le président de la commission chargée de ramener définitivement la paix en Côte d’Ivoire.
« Je voudrais me mettre à genou auprès de vous, les deux bras sur la tête, pour pleurer le grand malheur qui s’est abattu sur nous », a poursuivi Charles Konan Banny, expliquant que ce qui s’est passé ces dix dernières années dans le pays est humainement inconcevable.
Le président de la CDVR s’est engagé à faire triompher la vérité sur ce qui s’est réellement passé pendant ces heures chaudes, notamment sur les raisons du mal et les auteurs des atrocités.
« Ce qui nous est arrivé est humainement inconcevable. Il faut que nous comprenions ce qui est arrivé. Cela par le dialogue. Le processus doit dégager les responsabilités individuelles. Qui a fait quoi et pourquoi. Nous ferons en sorte que cette vérité ne soit pas biaisée. Les responsables identifiés devront répondre de leurs actes qui qu’ils soient », a-t-il averti.
(AIP)
gso/cmas
« Je suis venu compatir avec vous, prendre ma part de douleur et de responsabilité dans ce qui nous est arrivé », a déclaré le président de la commission chargée de ramener définitivement la paix en Côte d’Ivoire.
« Je voudrais me mettre à genou auprès de vous, les deux bras sur la tête, pour pleurer le grand malheur qui s’est abattu sur nous », a poursuivi Charles Konan Banny, expliquant que ce qui s’est passé ces dix dernières années dans le pays est humainement inconcevable.
Le président de la CDVR s’est engagé à faire triompher la vérité sur ce qui s’est réellement passé pendant ces heures chaudes, notamment sur les raisons du mal et les auteurs des atrocités.
« Ce qui nous est arrivé est humainement inconcevable. Il faut que nous comprenions ce qui est arrivé. Cela par le dialogue. Le processus doit dégager les responsabilités individuelles. Qui a fait quoi et pourquoi. Nous ferons en sorte que cette vérité ne soit pas biaisée. Les responsables identifiés devront répondre de leurs actes qui qu’ils soient », a-t-il averti.
(AIP)
gso/cmas
