Presque tous les promoteurs culturels ne manquent pas de le ressasser. Le manque ou l’insuffisance d’appui des autorités, aux initiatives culturelles privées, continue d’être une réalité. Et ils sont nombreux, les promoteurs culturels, qui boivent le calice des difficultés jusqu’à la lie. C’est un constat amer que font ces promoteurs à chaque édition de leurs événements respectifs. Au nombre de ceux-ci, se trouvent les promoteurs d’événements littéraires. Le cas des associations « Akwaba Culture » qui promeut Prix Ivoire et « Point de lecture » qui organise “le Café littéraire” est patent. Ces organisations de bénévoles, amoureux du livre, bien que souvent épaulés par des structures et mécènes privés, n’ont pas toujours bénéficié de l’aide des autorités tutélaires. Sauf que cette année, pour « Akwaba Culture », que le ministre Maurice Bandaman, homme de Culture, qui a essayé de donner une bouffée d’oxygène à Isabelle Kassy Fofana et ses amis. Gageons qu’avec la création du Fonds de soutien à la Promotion de la Culture, dont le Conseil de gestion a été installé récemment, toutes ces difficultés seront aplanies pour le bonheur, non seulement des amoureux du livre, mais également pour tous les promoteurs culturels. Car, Alassane Ouattara a, également pour cheval de bataille, le mieux-être des acteurs de tous les secteurs d’activités.
JAD
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