Nady Rayess, Pdg du groupe Olympe, a perdu la vie hier à Vitré I près de Grand-Bassam dans un crash de son avion de plaisance.
Le monde de la communication est en deuil, en ce début de nouvel an. Et, la Côte d’Ivoire vient de vivre pour la seconde fois en ce même lieu de Vitré I, un drame après celui du député-maire de Grand-Bassam, Jean-Michel Moulod dont la dépouille a été repêchée près du bac d’Eloka dans la lagune de Vitré. Cette fois-ci, c’est Nady Rayess Pdg du groupe de presse Olympe (Soir info, Inter et star magazine) qui a trouvé la mort de façon tragique. Son avion de plaisance s’est abîmé , hier, aux environs de 9 heures sur une l’île, dans la périphérique de Vitré I, village situé à 4 Km de la ville de Grand-Bassam. Comment en est-on arrivé à ce drame ? Si le mobile réel de l’accident demeure un mystère, selon les informations recoupées sur place, il ressort que Nady Rayess revenait d’Assinie, endroit paradisiaque du Sud-Comoé, à 80km d’Abidjan où il avait passé le week-end. Une fois au-dessus de Vitré I, la visibilité serait devenue très mauvaise. L’avion fit des embardées, selon des témoins. Dans ses manœuvres, le pilote de l’avion de plaisance de 4 places immatriculé TUGRNII2A tente en vain de se poser sur l’eau. Malheureusement, c’est plutôt sur l’autre rive de la lagune sur l’île de Vitré I que l’avion s’écrase. Les villageois qui ont suivi l’horrible scène, accourent pour porter secours à l’équipage. A bord de plusieurs pirogues, ils naviguent du bac d’Eloka en direction de l’île. Pendant ce temps, les villageois sur place informent les autorités de la ville. Quelques minutes après, un hélico de l’aéroclub d’Abidjan survole le lieu du crash à une basse altitude, à la recherche de l’engin sinistré. Après un quart d’heure environ, l’hélico repère l’engin écrasé en pleine île. L’équipage largue trois éléments : deux Européens et un Africain qui parviennent jusqu’à l’avion. Aidés par les villageois, les membres de l’équipage de secours ont pu extraire la victime des décombres de l’engin. Hélas, Nady Rayess a péri sur le coup. Sa dépouille et ses bagages sont déposés dans une pirogue puis acheminés jusqu’au bac d’Eloka, côté vitré I. Bien avant, la gendarmerie de Grand-Bassam est arrivée sur les lieux. Elle est suivie de la police. Une fois sur la berge, faute de moyens d’équipements, les forces de sécurité resteront impuissantes devant cette dure épreuve. Elles n’ont pu franchir la berge.
Emmanuelle Kanga à Grand-Bassam
Le monde de la communication est en deuil, en ce début de nouvel an. Et, la Côte d’Ivoire vient de vivre pour la seconde fois en ce même lieu de Vitré I, un drame après celui du député-maire de Grand-Bassam, Jean-Michel Moulod dont la dépouille a été repêchée près du bac d’Eloka dans la lagune de Vitré. Cette fois-ci, c’est Nady Rayess Pdg du groupe de presse Olympe (Soir info, Inter et star magazine) qui a trouvé la mort de façon tragique. Son avion de plaisance s’est abîmé , hier, aux environs de 9 heures sur une l’île, dans la périphérique de Vitré I, village situé à 4 Km de la ville de Grand-Bassam. Comment en est-on arrivé à ce drame ? Si le mobile réel de l’accident demeure un mystère, selon les informations recoupées sur place, il ressort que Nady Rayess revenait d’Assinie, endroit paradisiaque du Sud-Comoé, à 80km d’Abidjan où il avait passé le week-end. Une fois au-dessus de Vitré I, la visibilité serait devenue très mauvaise. L’avion fit des embardées, selon des témoins. Dans ses manœuvres, le pilote de l’avion de plaisance de 4 places immatriculé TUGRNII2A tente en vain de se poser sur l’eau. Malheureusement, c’est plutôt sur l’autre rive de la lagune sur l’île de Vitré I que l’avion s’écrase. Les villageois qui ont suivi l’horrible scène, accourent pour porter secours à l’équipage. A bord de plusieurs pirogues, ils naviguent du bac d’Eloka en direction de l’île. Pendant ce temps, les villageois sur place informent les autorités de la ville. Quelques minutes après, un hélico de l’aéroclub d’Abidjan survole le lieu du crash à une basse altitude, à la recherche de l’engin sinistré. Après un quart d’heure environ, l’hélico repère l’engin écrasé en pleine île. L’équipage largue trois éléments : deux Européens et un Africain qui parviennent jusqu’à l’avion. Aidés par les villageois, les membres de l’équipage de secours ont pu extraire la victime des décombres de l’engin. Hélas, Nady Rayess a péri sur le coup. Sa dépouille et ses bagages sont déposés dans une pirogue puis acheminés jusqu’au bac d’Eloka, côté vitré I. Bien avant, la gendarmerie de Grand-Bassam est arrivée sur les lieux. Elle est suivie de la police. Une fois sur la berge, faute de moyens d’équipements, les forces de sécurité resteront impuissantes devant cette dure épreuve. Elles n’ont pu franchir la berge.
Emmanuelle Kanga à Grand-Bassam