La Primature, dans un récent communiqué publié par des médias et la presse écrite, avait interdit la circulation des véhicules surchargés sur l’autoroute du nord. Cette interdiction vise les gros camions transportant des marchandises (des chaussures emballées dans de gros sachets, des cartons…), du charbon, des bois découpés en petits morceaux etc. Ce communiqué indique que les auteurs des contraventions à cette interdiction seront sanctionnés. La sanction va de la mise en fourrière des véhicules aux amendes.
Malgré la clarté de ce communiqué, des transporteurs et autres commerçants continuent leurs surcharges. Et il ne se passe de jour sans que ces gros camions ne circulent avec leurs surcharges au grand dam des usagers et particulièrement des personnels. L’on s’interroge alors sur le rôle du détachement militaire commis à la tâche de traque de ces véhicules «hors-la loi». De sources bien introduites, lorsque ces camions surchargés arrivent à des postes de contrôle ou à des corridors, les chauffeurs et surtout les responsables des produits transportés corrompent des éléments de contrôle en service à ces postes. Les conséquences de cet état de fait sont catastrophiques : non seulement ces véhicules créent des embouteillages monstres, mais surtout ils déversent souvent leurs contenus sur la route provocant des accidents aux bilans souvent lourds avec des pertes en vie humaine et des dégâts matériels très importants. Il ne pourrait en être autrement si le seul programme actuel de Soro Guillaume est «le maintien de Laurent Gbagbo à la Cpi».
Une correspondance particulière d’Emile Kian
Malgré la clarté de ce communiqué, des transporteurs et autres commerçants continuent leurs surcharges. Et il ne se passe de jour sans que ces gros camions ne circulent avec leurs surcharges au grand dam des usagers et particulièrement des personnels. L’on s’interroge alors sur le rôle du détachement militaire commis à la tâche de traque de ces véhicules «hors-la loi». De sources bien introduites, lorsque ces camions surchargés arrivent à des postes de contrôle ou à des corridors, les chauffeurs et surtout les responsables des produits transportés corrompent des éléments de contrôle en service à ces postes. Les conséquences de cet état de fait sont catastrophiques : non seulement ces véhicules créent des embouteillages monstres, mais surtout ils déversent souvent leurs contenus sur la route provocant des accidents aux bilans souvent lourds avec des pertes en vie humaine et des dégâts matériels très importants. Il ne pourrait en être autrement si le seul programme actuel de Soro Guillaume est «le maintien de Laurent Gbagbo à la Cpi».
Une correspondance particulière d’Emile Kian