Si le squelette découvert à Issia avait été celui du journaliste franco-canadien, Guy-André Kieffer, cela aurait été une bonne chose. Non pas parce que ces ossements auraient permis de resserrer davantage l’étau autour des exécutants et des commanditaires du crime
commis, mais surtout, cela aurait mis fin à la souffrance des parents et amis du disparu. Parce que, perdre un parent, n’est déjà pas une bonne chose et quand à cela, s’ajoute le fait que le corps du disparu est introuvable, la douleur devient encore plus profonde. Les siens continuent de se poser la question de savoir comment il est morts, ce qu’il a subi comme traitement, ou même qu’il n’est pas enfermé quelque part subissant les pires atrocités. Si le squelette d’Issia avait été le bon, la famille Kieffer serait aujourd’hui soulagée et ce n’était pas rien. Quant aux criminels, leur sort serai scellé. Ils arrêteraient de traîner un macabre secret, leur conscience en serait libérée. Malheureusement voilà que le juge continuera de courir derrière des preuves de la mort de son client. Dommage, vraiment dommage ! Mais comme Dieu ne dort pas et qu’un crime n’est jamais parfait, une piste se révèlera qui conduira aux restes (si tant est qu’il est passé de vie à trépas) du journaliste d’investigation Guy-André Kieffer. Ceux qui croient avoir remporté une victoire-les expertises d’ADN pratiquée sur le squelette, ayant été proclamées négatives, des sans cœur-et qui jubilent en ce moment, pleureront demain. La vérité se saura dans cette affaire de crime. C’est sûr et certain. Si l’un des principaux accusés n’a pas survécu à l’annonce de cette découverte qui n’a pas abouti à la vérité, c’est que la vérité n’est pas loin. On a beau jouer les plus malins et faire valoir ses qualités de manipulateur, tout le monde sait que seul l’ancien camp présidentiel a intérêt à ce que le juge ne découvre pas la vérité. Rira donc bien qui rira le dernier. Les sans cœur applaudissent les exploits que réussissent, pour le moment, son champion, en ne permettant pas la découverte du corps ou du squelette du journaliste. Or, sa joie aurait été justifiée, si l’on retrouvait au Ghana, comme l’a indiqué la dame première, le franco-canadien vivant. Sur la disparition du journaliste, les partisans du président capturé ne disent rien, ils ne démentent pas l’information. Bien au contraire, ils orientent le juge vers d’autres pistes, ce qui revient à dire que l’unanimité est faite sur ce qui est arrivé au journaliste ce 16 avril 2004.
Mais, ils ne se sont jamais posé la question de savoir pourquoi le régime qu’ils défendent n’a jamais cherché à faire la lumière sur cette affaire où est pourtant impliqué, le beau-frère de la dame première. Pensent-ils à la douleur des autres ? Pas du tout et c’est là le drame
commis, mais surtout, cela aurait mis fin à la souffrance des parents et amis du disparu. Parce que, perdre un parent, n’est déjà pas une bonne chose et quand à cela, s’ajoute le fait que le corps du disparu est introuvable, la douleur devient encore plus profonde. Les siens continuent de se poser la question de savoir comment il est morts, ce qu’il a subi comme traitement, ou même qu’il n’est pas enfermé quelque part subissant les pires atrocités. Si le squelette d’Issia avait été le bon, la famille Kieffer serait aujourd’hui soulagée et ce n’était pas rien. Quant aux criminels, leur sort serai scellé. Ils arrêteraient de traîner un macabre secret, leur conscience en serait libérée. Malheureusement voilà que le juge continuera de courir derrière des preuves de la mort de son client. Dommage, vraiment dommage ! Mais comme Dieu ne dort pas et qu’un crime n’est jamais parfait, une piste se révèlera qui conduira aux restes (si tant est qu’il est passé de vie à trépas) du journaliste d’investigation Guy-André Kieffer. Ceux qui croient avoir remporté une victoire-les expertises d’ADN pratiquée sur le squelette, ayant été proclamées négatives, des sans cœur-et qui jubilent en ce moment, pleureront demain. La vérité se saura dans cette affaire de crime. C’est sûr et certain. Si l’un des principaux accusés n’a pas survécu à l’annonce de cette découverte qui n’a pas abouti à la vérité, c’est que la vérité n’est pas loin. On a beau jouer les plus malins et faire valoir ses qualités de manipulateur, tout le monde sait que seul l’ancien camp présidentiel a intérêt à ce que le juge ne découvre pas la vérité. Rira donc bien qui rira le dernier. Les sans cœur applaudissent les exploits que réussissent, pour le moment, son champion, en ne permettant pas la découverte du corps ou du squelette du journaliste. Or, sa joie aurait été justifiée, si l’on retrouvait au Ghana, comme l’a indiqué la dame première, le franco-canadien vivant. Sur la disparition du journaliste, les partisans du président capturé ne disent rien, ils ne démentent pas l’information. Bien au contraire, ils orientent le juge vers d’autres pistes, ce qui revient à dire que l’unanimité est faite sur ce qui est arrivé au journaliste ce 16 avril 2004.
Mais, ils ne se sont jamais posé la question de savoir pourquoi le régime qu’ils défendent n’a jamais cherché à faire la lumière sur cette affaire où est pourtant impliqué, le beau-frère de la dame première. Pensent-ils à la douleur des autres ? Pas du tout et c’est là le drame
