Une piste vient de se refermer dans l’affaire Kieffer. Le squelette d’Issia n’est pas celui du journaliste Franco-canadien Guy André Kieffer. Les résultats du test d’ADN sont formels. Ce ne sont pas les restes de Kieffer qui ont été exhumés dans le village de Yaokro. Le mystère sur la disparition du journaliste qui enquêtait sur des malversations dans la filière Café-cacao en Côte d’Ivoire reste entier. Cependant, le fait notable est la concordance des résultats du test d’ADN avec les positions dès la découverte faite à Issia, des relais de la refondation. Depuis la découverte du squelette, les confères bleus dans leurs différentes parutions ont, en effet, insisté en chœur sur le fait que le juge français, Patrick Ramaël n’était pas sur la bonne piste et qu’il s’était trompé de cadavre. Encore plus précis, les journalistes ont écrit que ce n’est pas un blanc mais un noir qui avait été enterré à Yaokro. Ils ont même précisé connaître les noms et prénoms de la personne tuée et enterrée au bord de la rivière Goré ainsi que les motifs du meurtre qu’ils gardent pour l’instant au secret. De toute évidence, ces porte-voix de la refondation en savent beaucoup sur cette affaire.
Partant de là, il est certain que le FPI qu’ils défendent bec et ongle, sait où Guy André Kieffer a été enterré. De toutes les façons, les enquêtes menées depuis la disparition du journaliste en avril 2004 se sont toujours orientées vers le cercle restreint de l’ex-couple présidentiel composé de caciques du FPI. Simone Ehivet Gbagbo ex première dame, Yapo Séka Anselme dit Séka Séka aide de camp de Simone, Paul Antoine Bohoun Bouabré, ancien ministre de l’Economie et des Finances, Dogbo Blé Brunot, ancien commandant de la garde républicaine pour ne citer que ceux-là, ont été constamment cités dans l’affaire. Après plusieurs couacs dans la conduite des enquêtes entre la justice française et la justice ivoirienne, la collaboration avait repris sans toute fois permettre une avancée significative au niveau des investigations. Même l’audition de l’ancienne première dame et de son staff ainsi que Bohoun Bouabré n’a rien donné. L’espoir qu’a suscité la découverte du squelette d’Issia a disparu avec le résultat du test d’ADN pour la famille du grand disparu. Mais, ces résultats qui sont en adéquation avec les affirmations des laudateurs de la refondation confortent la position de ceux qui croient dur comme fer que le FPI est à base de la disparition et sait où se trouve le journaliste enquêteur. Les recherches continuent et la vérité éclatera un jour ou l’autre.
LO
Partant de là, il est certain que le FPI qu’ils défendent bec et ongle, sait où Guy André Kieffer a été enterré. De toutes les façons, les enquêtes menées depuis la disparition du journaliste en avril 2004 se sont toujours orientées vers le cercle restreint de l’ex-couple présidentiel composé de caciques du FPI. Simone Ehivet Gbagbo ex première dame, Yapo Séka Anselme dit Séka Séka aide de camp de Simone, Paul Antoine Bohoun Bouabré, ancien ministre de l’Economie et des Finances, Dogbo Blé Brunot, ancien commandant de la garde républicaine pour ne citer que ceux-là, ont été constamment cités dans l’affaire. Après plusieurs couacs dans la conduite des enquêtes entre la justice française et la justice ivoirienne, la collaboration avait repris sans toute fois permettre une avancée significative au niveau des investigations. Même l’audition de l’ancienne première dame et de son staff ainsi que Bohoun Bouabré n’a rien donné. L’espoir qu’a suscité la découverte du squelette d’Issia a disparu avec le résultat du test d’ADN pour la famille du grand disparu. Mais, ces résultats qui sont en adéquation avec les affirmations des laudateurs de la refondation confortent la position de ceux qui croient dur comme fer que le FPI est à base de la disparition et sait où se trouve le journaliste enquêteur. Les recherches continuent et la vérité éclatera un jour ou l’autre.
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