Reporters sans frontières (RSF) a appelé hier, à poursuivre l`enquête pour que "justice soit rendue" après la disparition du journaliste franco-canadien Guy-André Kieffer en 2004, alors que des expertises ADN ont montré qu`un squelette exhumé n`était pas le sien.
Dans un communiqué, l`organisation de défense de la presse a invité autorités ivoiriennes et françaises à continuer leur collaboration et le juge français Patrick Ramaël à "poursuivre ses efforts pour que justice soit rendue".
"Nous sommes tous, proches, amis et collègues de Guy-André, déterminés à ce que la vérité éclate et que les auteurs de sa disparition soient identifiés puis traduits en justice", écrit RSF, partie civile dans ce dossier.
La famille du journaliste disparu le 16 avril 2004 à Abidjan a appris jeudi que les expertises ADN ont montré que le squelette exhumé le 6 janvier dans l`ouest de la Côte d`Ivoire n`était pas celui de Guy-André Kieffer.
L`enquête menée en France s`est orientée vers des proches du pouvoir de l`ex-président ivoirien Laurent Gbagbo, arrêté le 11 avril 2011 après une crise post-électorale de quatre mois, qui a fait quelque 3.000 morts.
Dans un communiqué, l`organisation de défense de la presse a invité autorités ivoiriennes et françaises à continuer leur collaboration et le juge français Patrick Ramaël à "poursuivre ses efforts pour que justice soit rendue".
"Nous sommes tous, proches, amis et collègues de Guy-André, déterminés à ce que la vérité éclate et que les auteurs de sa disparition soient identifiés puis traduits en justice", écrit RSF, partie civile dans ce dossier.
La famille du journaliste disparu le 16 avril 2004 à Abidjan a appris jeudi que les expertises ADN ont montré que le squelette exhumé le 6 janvier dans l`ouest de la Côte d`Ivoire n`était pas celui de Guy-André Kieffer.
L`enquête menée en France s`est orientée vers des proches du pouvoir de l`ex-président ivoirien Laurent Gbagbo, arrêté le 11 avril 2011 après une crise post-électorale de quatre mois, qui a fait quelque 3.000 morts.