Le ministère de la Famille, de la femme et de l’enfant est de plus en plus saisi de cas de crimes sexuels. En moins d’une semaine, trois cas de viols de bébés ont été dénoncés. Des auteurs ont été arrêtés.
L’acte est immoral, ignoble ! Un bébé de 2 ans et demi a été violé par un adulte de 32 ans. Ce n’est pas fini ! Une môme de 4 ans a été déflorée par un homme de 47 ans. Une autre fillette de 6 ans a été victime de violences sexuelles commises par un vieillard de 60 ans. Ces faits difficiles à qualifier se sont produits la semaine écoulée (mardi et mercredi) dans différentes communes d’Abidjan. D’autres cas d’agressions sexuelles d’enfants de moins d’un an, aussi bien dans la capitale économique qu’à l’intérieur du pays, ont été également signalés hier, lors d’un point-presse, par le ministère de la Famille, de la femme et de l’enfant. La directrice de l’égalité et de la promotion du genre, Kaba Yaya Fofana, a informé les journalistes de l’arrestation de certains violeurs, en l’occurrence l’homme de 32 ans. Il a été déféré ce vendredi. Face à cette recrudescence des cas de violences sexuelles à l’égard d’enfants, son ministère a décidé de monter au créneau. « La tolérance zéro est déclarée à l’endroit des viols et de leur impunité. En moins d’une semaine, nous avons été saisis de plusieurs cas. Une victime de 11 ans est même internée dans un centre de santé actuellement. Elle a perdu l’usage de ses jambes. Ces situations nous obligent à prendre des initiatives diligentes pour que réparation soit faite dans les plus brefs délais », a-t-elle estimé. Kaba Fofana Yaya rassure les familles que désormais son département se portera partie civile pour tous les cas de viols rapportés. « Nous appelons à la vigilance des magistrats, des officiers de police, de la gendarmerie, des travailleurs sociaux face à l’ampleur que prennent les cas de viols et leurs incidences pernicieuses », a-t-elle déploré. La directrice exhorte les parents à dénoncer les violeurs et à privilégier les voies légales de réparation de ces injustices. « Nous leur demandons, dans les instants qui suivent les viols, de se rendre dans un centre médical, de se référer à la police ou à la gendarmerie, et de saisir les services de protection du ministère », conseille-t-elle.
S.S. (stagiaire)
L’acte est immoral, ignoble ! Un bébé de 2 ans et demi a été violé par un adulte de 32 ans. Ce n’est pas fini ! Une môme de 4 ans a été déflorée par un homme de 47 ans. Une autre fillette de 6 ans a été victime de violences sexuelles commises par un vieillard de 60 ans. Ces faits difficiles à qualifier se sont produits la semaine écoulée (mardi et mercredi) dans différentes communes d’Abidjan. D’autres cas d’agressions sexuelles d’enfants de moins d’un an, aussi bien dans la capitale économique qu’à l’intérieur du pays, ont été également signalés hier, lors d’un point-presse, par le ministère de la Famille, de la femme et de l’enfant. La directrice de l’égalité et de la promotion du genre, Kaba Yaya Fofana, a informé les journalistes de l’arrestation de certains violeurs, en l’occurrence l’homme de 32 ans. Il a été déféré ce vendredi. Face à cette recrudescence des cas de violences sexuelles à l’égard d’enfants, son ministère a décidé de monter au créneau. « La tolérance zéro est déclarée à l’endroit des viols et de leur impunité. En moins d’une semaine, nous avons été saisis de plusieurs cas. Une victime de 11 ans est même internée dans un centre de santé actuellement. Elle a perdu l’usage de ses jambes. Ces situations nous obligent à prendre des initiatives diligentes pour que réparation soit faite dans les plus brefs délais », a-t-elle estimé. Kaba Fofana Yaya rassure les familles que désormais son département se portera partie civile pour tous les cas de viols rapportés. « Nous appelons à la vigilance des magistrats, des officiers de police, de la gendarmerie, des travailleurs sociaux face à l’ampleur que prennent les cas de viols et leurs incidences pernicieuses », a-t-elle déploré. La directrice exhorte les parents à dénoncer les violeurs et à privilégier les voies légales de réparation de ces injustices. « Nous leur demandons, dans les instants qui suivent les viols, de se rendre dans un centre médical, de se référer à la police ou à la gendarmerie, et de saisir les services de protection du ministère », conseille-t-elle.
S.S. (stagiaire)