Décédé le 30 octobre dernier, le Dopé national Amédée Pierre a été inhumé samedi au cimetière de Williamswille où il repose en paix.
Nahounou Digbeu , alias Amédée Pierre, a définitivement quitté la terre des hommes. Considéré comme le père de la musique ivoirienne moderne, plus précisément de la musique urbaine inspirée du terroir, le Dopé national a été inhumé, samedi dernier, au cimetière de williamsville où il repose désormais. C’est après une messe dite par le père Augustin Obrou à la cathédrale du Plateau que le cap a été mis sur williamsville pour l’enterrement. Pour le père Augustin Obrou, Amédée Pierre, selon les nombreux témoignages, était une personne aimée de tous. «C’est vrai que notre frère n’a pas vécu longtemps. Mais il était aimé des autres, parce qu’il aimait son travail. Nous sommes tous unanimes qu’il était un grand chanteur. Il a su semer la bonne graine, il n’y a qu’à voir les nombreux talents dans le milieu de la musique ivoirienne», dit-il. Et d’ajouter qu’après tous les actes que le Dopé a posés pour les artistes, il va bénéficier du royaume des cieux. «Amédée Pierre a fructifié des talents de la musique ivoirienne. Rien que pour ça, il pourra bénéficier du royaume des cieux», a t-il clamé. Le professeur Séry Bailly a pour sa part adressé toutes ses reconnaissances au président de la République qui a bien voulu organiser ces obsèques nationales. «Je remercie le gouvernement pour la réussite de l’organisation de ces obsèques», a-t-il remercié. Les ministres Maurice Bandaman, Dagobert Banzio, Séry Gnoléba pour ne citer que ceux -là, ont tenu à accompagner le doyen à sa dernière demeure. Il faut rappeler que Nahounou Digbeu alias Amédée Pierre est né le 30 mars 1937 à Tabou. Et a débuté sa carrière musicale en 1955 à Paris. Les titres ‘’Moussio Moussio’’ et’’ soklopeu Mawa’’ ont dépassé les frontières ivoiriennes et continuent jusqu’à ce jour de faire danser plusieurs générations. Adieu l’artiste, que son âme repose en paix.
M.G (stagiaire)
Nahounou Digbeu , alias Amédée Pierre, a définitivement quitté la terre des hommes. Considéré comme le père de la musique ivoirienne moderne, plus précisément de la musique urbaine inspirée du terroir, le Dopé national a été inhumé, samedi dernier, au cimetière de williamsville où il repose désormais. C’est après une messe dite par le père Augustin Obrou à la cathédrale du Plateau que le cap a été mis sur williamsville pour l’enterrement. Pour le père Augustin Obrou, Amédée Pierre, selon les nombreux témoignages, était une personne aimée de tous. «C’est vrai que notre frère n’a pas vécu longtemps. Mais il était aimé des autres, parce qu’il aimait son travail. Nous sommes tous unanimes qu’il était un grand chanteur. Il a su semer la bonne graine, il n’y a qu’à voir les nombreux talents dans le milieu de la musique ivoirienne», dit-il. Et d’ajouter qu’après tous les actes que le Dopé a posés pour les artistes, il va bénéficier du royaume des cieux. «Amédée Pierre a fructifié des talents de la musique ivoirienne. Rien que pour ça, il pourra bénéficier du royaume des cieux», a t-il clamé. Le professeur Séry Bailly a pour sa part adressé toutes ses reconnaissances au président de la République qui a bien voulu organiser ces obsèques nationales. «Je remercie le gouvernement pour la réussite de l’organisation de ces obsèques», a-t-il remercié. Les ministres Maurice Bandaman, Dagobert Banzio, Séry Gnoléba pour ne citer que ceux -là, ont tenu à accompagner le doyen à sa dernière demeure. Il faut rappeler que Nahounou Digbeu alias Amédée Pierre est né le 30 mars 1937 à Tabou. Et a débuté sa carrière musicale en 1955 à Paris. Les titres ‘’Moussio Moussio’’ et’’ soklopeu Mawa’’ ont dépassé les frontières ivoiriennes et continuent jusqu’à ce jour de faire danser plusieurs générations. Adieu l’artiste, que son âme repose en paix.
M.G (stagiaire)
